jeudi 6 avril 2023

Le patrimoine religieux binchois

 


 LE PATRIMOINE STATUAIRE RELIGIEUX BINChE

                                                                                                                                    Alain GRAUX

 Le patrimoine religieux binchois comprend au nombre de ses trésors, outre l’orfèvrerie précieuse, un nombre important de statues, on les retrouve dans plusieurs endroits [1]

Les plus connues de ces sculptures ont fait l’objet de nombreuses publications, nous ne les relèverons que pour mémoire :

 PIETA (A) [2].

                                           

 Cette Piéta fut sculptée par un atelier anversois, elle porte une marque sur sa base, c’est une main d’Anvers, datant du premier tiers du XVIe s.

 CHRIST DE PITIE (B).

Cette magnifique sculpture gothique est en chêne, elle fait un mètre de large sur 88 cm de haut, autrefois peinte, elle est aujourd’hui décapée, elle provient de la chapelle Saint-André.

 

Statue gothique représentant le christ assis au calvaire, elle date du début du XVIe s., entre 1501 et 1510, en bois polychrome, d’une hauteur d’un mètre 73 cm. De nombreux ex-voto en cire étaient appendus sur et autour de ce Christ que les Binchois appelaient le « Bon Dieu de pitié ». Assis, ceint du périzonium,  il a les pieds et les mains liées et porte un roseau entre les bras. Ses jambes sont croisées. A sa gauche, sur le socle recouvert d’une tunique, figure une tête de mort

CHRIST DE PITIE [3]  (A)

 Ce Christ de pitié gothique en chêne, fut créé par un atelier anversois, porte une marque au revers, une main d’Anvers, datant de la fin du XVe s. ou  début  du XVIe s. Le Christ couronné d’épines, est simplement muni d’un périzonium et  a les mains liées et est assis les jambes écartées sur un socle figurant un rocher partiellement recouvert d’une tunique où figure à droite une tête de mort

Il fut restauré par l’I.R.P.A. en 1962, il fait une hauteur d’un mètre 55 cm.

                                                         

GROUPE DIT « LA MISE AU TOMBEAU [4] (A)


Ce groupe gothique autrefois polychrome,  en calcaire d’Avesnes-le-Sec, aujourd’hui mutilé, provenant de l’ancienne chapelle Notre-Dame des Sept Douleurs, fut créé dans la deuxième moitié du XVe s.

Il comprend le Christ, la Vierge, Saint Jean, Nicodème (non représenté sur cette photo), une Sainte Femme et Marie-Madeleine.

Ce groupe fut restauré par l’I.R.P.A. en 1962

 LA VIERGE AUX RAISINS [5] (A).

Statuette de buis de 30 cm de haut, sous la base on peut lire « D. Bernard Wallez, 1642 », le style révèle un œuvre de la fin du XVIe s.

VIERGE A L’ENFANT (B).

Statue en calcaire du XVIe s., mutilée, restaurée en 1963 par l’I.R.P.A.  On trouve des traces de polychromie au dos du groupe et sur l’épaule gauche de la Vierge.

 A côté de ces objets « phares » on délaisse le patrimoine sculpté qui peut lui aussi faire l’objet de notre attention :

 SAINTS PERSONNAGES (B).

Quatre statues, mutilées en calcaire, de saints personnages, datent de la fin du XVe s. ou du début du XVIe s. (1491-1510) faisant probablement partie d’ « une agonie au jardin des oliviers ».

Saint Assis : Apôtre, calcaire d’une hauteur de 1,10 m.

Saint couché : largeur 1,2 m x 61 cm (B 195629’63)

Sainte Vierge : Vierge aux longs cheveux d’une hauteur de 1,15 m.

Fragments :  D’une hauteur  de 87 cm.

Ces statues furent restaurées en 1963 par l’I.R.P.A.

 ECCE HOMO (B).

Ecce Homo du XVIe siècle en pierre polychrome, fut restauré en 1963 par l’I.R.P.A.  Statue en pied d’une une hauteur de 56 cm.

SAINT JÉRÔME (B).

Pièce en tilleul de la 2e moitié du XVIIe s. ou du début du XVIIIe s. (1651-1710), partiellement peinte en blanc, d’une hauteur de 1,65 m. Malheureusement le dos de la sculpture est fendu sur toute sa longueur. Elle fut restaurée en 1962 par l’I.R.P.A.

 Saint Jérôme est né à Stidon (Istrie) vers 345, il mourut à Bethléem le 30 septembre 419. Il vécut en anachorète dans le désert de Chalcis (Syrie) de 374 à 378, connu pour sa sagesse, il devint secrétaire du pape Damase en 383, ce dernier lui confia la traduction de la bible (Vulgate). Il Partit ensuite pour Bethléem, où il fonda deux monastères et où il vécut 35 ans.

ANGE GARDIEN (B)

Groupe d’un ange accompagné d’un enfant, réalisé dans du tilleul pendant la 2e moitié du XVIIe s. ou du début du XVIIIe s. (1691-1710), partiellement peinte en blanc et or, d’une hauteur de 1,05 m.

Le groupe fut restauré en 1962 par l’I.R.P.A.

NOTRE-DAME DES FAVEURS (B)

 Vierge à l’enfant dite Notre-Dame des faveurs, provenant d’une niche des remparts à la porte du Posty, statue gothique en pierre d’Avesnes polychrome de la 2e moitié du XIVe s. ou au début de la 1ère moitié du XVe s., d’une hauteur de 86 cm.  Cette statue s’est fort altérée depuis 1945, date ou figurait à son côté l’enfant Jésus et où la Vierge possédait encore son bras droit.

 TÊTE D’ANGELOT (B)

Tête d’angelot en calcaire de la 2e moitié du XVIIe s. ou du début du XVIIIe s., Elle fut restaurée en 1963 par l’I.R.P.A.

 SAINTE ANNE (C)

Statue de Sainte-Anne trinitaire en chêne polychrome de la fin du XVIe s., début du XVIIe s., d’une hauteur de 40,5 cm.

La mère de Marie est honorée depuis toujours à Battignies où elle trône au dessus de l’autel.

 SAINT ANTOINE (A)

 Statue en chêne polychrome de Saint Antoine ermite, créée à la fin du XVIe s. ou au début du XVIIe s., d’une hauteur de 85 cm. Le saint en habit de moine, ceinturé d’un rosaire, il lit un livre tenu ouvert dans sa main gauche, à droite il tient un bâton portant une cloche. A ses pieds, un diable  figurant le cochon tentateur.

 

Saint Antoine est né à Quenan (Egypte) vers 255, il mourut dans la Thébaïde le 17 janvier 356. Ermite par vocation, il s’était établi dans le désert pendant plus de 20 ans. Il fonda les premiers monastères connus.

 SAINT ARNOULD (A)

 Statue de Saint Arnould avec socle reliquaire, en bois polychrome de la deuxième partie du XVIIIe s. (1751-1800), d’une hauteur de 1,17 m. Il figure en tenue d’évêque portant mitre et croix pectorale, le bras droit bénissant, il tient au bras droit un « fourquet ». 

                                                                  

Evêque et confesseur né à Tiegem près d’Audenarde. Il devint abbé du monastère de Saint Médard à Soissons, où il devint évêque. Il fonda l’abbaye d’Oudenburg où il mourut en 1087.

 SAINT AUBERT (A)

Statue de Saint Aubert de Cambrai en bois polychrome avec socle reliquaire de la deuxième moitié du XVIIIe s. (1751-1800), d’une hauteur de 95 cm.

En tenue d’évêque mitré, un panier de pains est posé à sa gauche, rappelant qu’il est le patron des boulangers.

 

                                                        

Evêque et confesseur vivant au VIIe s. , il fut moine bénédictin, mais aussi évêque du diocèse de Cambrai, il évangélisa le Hainaut.

 SAINTE BARBE (A)

Statue en bois polychrome posée sur un socle marqué à son nom. Statue de la 2e moitié du XVIe s. Cette sculpture a été volée.

La sainte, d’une hauteur de 40 cm, est coiffée de deux tresses, elle porte un livre ouvert à la main gauche et un stylet à la main droite. A sa gauche, une tour de même hauteur munie d’une porte et de trois fenêtres, a un dôme en forme de cloche, un balcon à créneaux se trouve aux trois quart de la hauteur de la tour.

 

 Vierge martyre du IIIe s., refusant d’obéir à son père qui l’obligeait à renoncer à sa foi. Il l’enferma dans une tour et lui trancha la tête.

SAINTE CATHERINE (A)

Statue en bois polychrome de Sainte Catherine d’Alexandrie, de la fin du XVIe s., début du XVIIe s., d’une hauteur de 84 cm.

Elle est représentée avec comme attribut, la roue.

 

Elle foule aux pieds le philosophe Porphyre qui prétendait la convaincre. Elle fut honorée par les tapissiers. Cette vierge serait morte martyre à Alexandrie au IVe s. La légende veut que cette fille du roi de Cilicie, convertie par un ermite, entra en conflit avec l’empereur Maxence lorsque celui-ci voulut forcer les habitants d’Alexandrie  à adorer les idoles. Elle fut jetée au cachot où quatre roues garnies de pointes de fer pour déchirer son corps l’attendaient. Cet engin se brisa, elle fut alors décapitée.

Elle était honorée à Binche par les tapissiers

 SAINT CRÉPIN et SAINT  CRÉPINIEN (A)

Se sont deux statues en bois polychrome de la fin du XVIIe s.

- St-Crépin d’une hauteur de 61 cm.

- St Crépinien: d’une hauteur de 60 cm.


Martyrs soissonnais du IIIe s., patrons des cordonniers, des tanneurs et corroyeurs.

On raconte que Romains, ils étaient venus en Gaule pour y répandre  la foi, tout en exerçant le métier de cordonniers. Ils subirent le supplice du chevalet où, suspendus à un instrument de torture, on détacha de leurs flancs de larges bandes de peau. Des ponçons ou des alênes leur furent aussi enfoncés.

SAINT DENIS (A)

Statue en chêne polychrome de Saint Denis de Paris, de la fin du XVIe s., début du XVIIe s., d’une hauteur de 66,5 cm.

 

Evêque romain qui évangélisa la région de Paris au IIIe s., il aurait été décapité sur la colline  de Montmartre en 258 avec St.-Eleuthère et St.-Rusticus.

SAINT DONAT (A)

Statue en bois peint de Saint Donat de Münstereifel, du XVIIe s. d’une hauteur d’un mètre, cette statue provient du même atelier que la statue de Saint Hippolyte

Le saint porte une tenue de soldat romain.

Invoqué un peu partout en Lorraine, Belgique et en Allemagne, pour se protéger du tonnerre et des éclairs, le culte de Donat de Münstereifel est une survivance du culte du au dieu germanique Donar.

 

Martyr, dont le corps a été retiré des catacombes de Euskirchen et envoyé à Münstereifel, où pendant la translation, un orage éclata. L’officiant fut frappé par la foudre et eut le temps d’invoquer Donat et fut indemne 

SAINT ELOI (A)

Statue en bois doré, représentant Saint Eloi en tenue d’évêque mitré portant une crosse à la main gauche et un marteau à la main droite. Il est honoré par tous les métiers travaillant les métaux.

 

Il naquit près de Limoges vers 588. Il devint orfèvre et acquit une influence considérable auprès du roi Dagobert. Il devint évêque de Noyon-Tournai le 13 mai 641. Il décéda en 660.

 SAINT GHISLAIN (A)

Statue de Saint-Ghislain en bois polychrome la fin du XVIIe s., début du XVIIIe s., d’une hauteur de 67 cm.  Représenté en tenue d’évêque mitré, tenant une crosse à la main gauche. Une église est posée sur son bras droit. A ses pieds, sa légende est suggérée par un ours.

 

 Né à Athènes au VIIe s., arrivé en Belgique vers 648-1650, il fonda une abbaye à l’endroit désigné par un ours . Il mourut vers l’an 685.

SAINT HOMMEBON (A)

Statue en bois polychrome de Saint Hommebon de Crémone, datant la fin du XVIIe s., début du XVIIIe s., d’une hauteur de 83 cm. Sur le socle l’inscription « St Tombon ». Il porte une paire de ciseaux à la main droite.

Omobono Tucenghi, né vers 1134, à Crémone (Italie), décédé le 13-11-1197, canonisé en 1199.

Ce saint fut particulièrement honoré à Binche, ville de tailleurs par excellence

SAINT HIPPOLYTE (A)

Statue de Saint Hippolyte le soldat, bois peint du XVIIe s. Elle est de la même facture que la statue de Saint Donat. Le saint est représenté en soldat romain.

 

 Hippolyte, soldat romain du IIIe s. converti par saint Laurent et que la tradition nous dit avoir été mis en pièces par des chevaux sauvages, sous l’empereur Valérien.

 SAINT JEAN DE JERUSALEM (A)

Statue de Saint Jean de Jérusalem dit le Silenciaire, en bois polychrome de la fin du XVIe s., début du XVIIe s., d’une hauteur de 75,5 cm.

 

 Evêque et moine en Arménie au Vie s., le surnom de Silenciaire lui a été donné à cause de son amour pour la retraite de sa vie humble et cachée.

 SAINT LAURENT (A)

Statue de Saint Laurent, en tenue de diacre, et lisant un livre. Sculpture en bois polychrome de la fin du XVIe s., début du XVIIe s., d’une hauteur de 85 cm.

 Le 7 août 258, le pape Sixte II a été exécute avec six de ses diacres, un septième diacre, Laurent, brava l’empereur  Valérien, appréhendé, on le coucha sur un grill ardent, mais grâce à Dieu, il ne ressentit pas les douleurs de son supplice, il décéda le 10 août, tout en narguant ses bourreaux.

 SAINT MARCOUX (A)

Statue de Saint Marcoux, représenté en habit de moine, en bois polychrome du XVIIIe s., d’une hauteur de 69,5 cm.

 

Ermite en Normandie, premier abbé de Nanteuil, il guérissait les abcès et les écrouelles, il transmit ce pouvoir aux rois de France. Il décéda en 558.

 SAINT NICOLAS (A)

Statue de Saint Nicolas en bois polychrome. Représenté en tenue d’évêque, bénissant de la main droite, il tient une crosse avec l’autre main. A ses pieds, un saloir avec trois petits enfants, en relation avec sa légende.

 

Evêque de Myre, en Asie Mineure, vécut à la fin du IIIe s., début du IVe s. L’arrivée de ses reliques à Bari au XIe s. lors des invasions musulmanes. Ce  fut l’origine de son culte en Occident

 SAINT PIERRE (A)

Statue du XVIIIe s. en bois peint de Saint Pierre l’apôtre, du XVIIe s. (A 84230’45)

Pêcheur sur le lac de Tibériade, Pierre quitta son métier pour suivre Jésus, dont il reçut la mission d’établir l’Eglise. Il mourut martyr à Rome en 64, crucifié la tête en bas, en signe d’humilité.

SAINT PAUL (A)

 La statue de Saint Paul de Tarse est en chêne. L’apôtre porte un livre fermé à la main droite et un long estoc longeant son corps à la main gauche

 Saint Paul, né à Tarse en Cilicie, ce fut l’apôtre des Gentils. Persécuteur des chrétiens, il se convertit sur le chemin de Damas. Il mourut à Rome, victime de la persécution de Néron en l’an 67.

 SAINT SEBASTIEN (A)

Statue de Saint Sébastien, en bois doré de la fin du XVIIe s., début du XVIIIe s. (1691-1710), d’une hauteur de 99 cm. Le saint est  ceint d’un périzonium. La jambe gauche est liée au tronc d’un arbre, tandis que les bras sont liés aux branches et le corps est transpercé de trois flèches. Un couteau est planté dans le socle de l’œuvre

 

 Soldat originaire de Milan, Sébastien secourut les victimes de la persécution des chrétiens par l’empereur Dioclétien, qui le livra a ses archers. Tenu pour mort, il fut sauvé par la pieuse Irène, il guérit et adjura l’empereur de donner la liberté aux chrétiens. Dioclétien ordonna de l’abattre à coups de bâtons.

 SAINT AMOLUIN ou SAINT THEODULPHE (A)

 Buste de Saint Amoluin ou  Saint Théodulphe (?), Le buste de l’évêque mitré est en bois peint en or et argent de la première moitié du XVIIIe s., d’une hauteur de 77 cm.

 

 SAINT URSMER (A)

Statue de Saint Ursmer, en bois peint et partiellement doré de la 1ère moitié du XVIIe s., d’une hauteur de 1,12 cm.

La statue représente l’évêque bénissant de la main gauche, la chasuble retenue par le main droite forme de beaux  plis, sur cette main est posé un livre fermé.

Saint Ursmer est né à Floyon près d’Avesnes en 644, il décéda le 18 avril 713. Il fut inhumé à Lobbes.

Il devint prêtre en 670. En 680, il devint abbé de l’abbaye de Lobbes, il reçut du pape Sergius 1er l’autorisation daller évangéliser dans les Flandres, il fonde un monastère à Alost, il devint évêque en 701.

 SAINT URSMER (B)

 Statue en tilleul de Saint Ursmer de la 2e moitié du XVIIe s. ou du début du XVIIIe s., partiellement peinte, d’une hauteur d’1,81 m. , traitée par l’I.R.P.A.

Le saint patron de Binche est en tenue d’évêque mitré, malheureusement mutilée, les bras lui manquent.

 


[1] Pour la facilité de compréhension, une lettre suit l’intitulé de chaque œuvre : (A) Collégiale Saint-Ursmer. (B) Chapelle Saint-André au Vieux cimetière. (C) Chapelle Sainte-Anne.

[2] A propos de la "Piéta" de la Collégiale Saint-Ursmer à Binche., dans: B.S.A.A.M.B., oct. 1979, pp. 6-9., Janv. 1980, pp. 6-8.

BEYAERT (L.), La piéta d'Anvers, dans: B.S.A.A.M.B., nov. 1997, pp. 3-11.

[3] DIDIER (ROBERT), Un Christ anversois assis au calvaire conservé à Binche, dans: B.I.R.P.A., 1963, t.6, pp. 179-182.

DIDIER (ROBERT), Christ attendant la mort au Calvaire et Piéta, deux sculptures anversoises conservées à Binche, dans: B.C.R.M.S., 1963, t.14, pp. 53-57. BORCHGRAVE d'ALTENA (comte JOSEPH de), La Passion du Christ dans la Sculpture en Belgique. Paris-Bruxelles, 1946, p. 38.

BORCHGRAVE d'ALTENA (comte JOSEPH de), Notes pour servir à l'histoire de la Sculpture en Hainaut.

 

[4] BORCHGRAVE d'ALTENA (Comte JOSEPH de), Les sculptures de la chapelle de l'ancien cimetière de Binche, Frameries, Union des imprimeries, 1920, 8 p.

BORCHGRAVE d'ALTENA (comte JOSEPH de), La Passion dans la Sculpture en Hainaut, Mons, éd. Hainaut Tourisme.

DIDIER (ROBERT), La "Mise au tombeau" sculptée de Binche. Etude stylistique et iconographique, dans: B.C.R.M.S., 1964, t.15, pp. 231-262.

[5] MAMBOUR (JOSEE), Trois remarquables Vierges en buis en Hainaut., dans: H.T., nov. 1985, n° 233, pp. 187-191.

MAMBOUR (JOSEE), La Vierge à l'enfant dans la Sculpture en Hainaut, Mons, éd. Hainaut-tourisme, 1988, t.2, pp.

Notes de l’abbé J. Huvelle, description parue dans Binche, ville musée. Le Vieux cimetière, la chapelle Saint-André. Le trésor de la collégiale, Binche 1972.

 

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