DES TAVERNES AUX HÔTELS BINCHOIS
Alain GRAUX
En 1555, les taverniers paient deux sous au poinçon (tonneau) et
trois sous à la keue de vin (la queue avait une contenance de 684 litres et le poinçon contenait environ 456 litres [1].
L'hôtel est une maison où on loge et on nourrit des
voyageurs pour de l'argent, ce qui le différencie de l'auberge où la
possibilité de loger où non dans l'établissement est offerte.
Binche, petite ville provinciale n'offrit longtemps
aux voyageurs que quelques établissements dont les plus connus sont l'hôtel du
Lion d'or et l'auberge du Roi d'Espagne.
C'est avec l'arrivée du chemin de fer que les hôtels
commencèrent à s'implanter en plus grand nombre dans la ville, mais aussi avec
l'intensification des activités de la foire aux chevaux et aux bestiaux qui se
tenait tous les 16 du mois et de celle de l'industrie de la confection.
Liste des hôtels et auberges de la ville de Binche[2]
Nous y
avons inclus des cafés où l’on tenait des « logeurs », en général des
ouvriers saisonniers ou ouvriers travaillant dans les mines des environs de la
ville.
Rue de Biseau
MIROIR
(Hôtel du -)
Le 13-11-1538, devant
les Jurés Pierre Vernoy, Jehan de Trahegnies et Bertrand Descrolières:
« Maître Nicolas Thomas, prêtre,
maître es arts, demeurant à Beaumont, fils Isabeau le Naing vend une rente de
32 s. t. (de rente) due sur l’hostel qu’on dist le
Miroir appartenant à Jean Lespoix en la rue
des Pelletiers et par derrière tenant à la rue des Masures.
Et ce au dit Jehan Lespoix, laboureur et bourgeois de
Binche, pour après son trépas aller à Anne et Bastienne Lespoix ses deux
filles… » [3].
Vers 1564-1573: « De Quintin Vernoye a cause de sa feme sur sa maison et hostel du Miroir
tenant audit Francquart (Laurent) et à Gille de Faulx… » [4].
En 1580 : « De Quintin Vernoye a cause de sa feme sur sa
maison et tenure qui fut lostel du Miroir tenant à la vesve de Gricourt et à la
vesve Gille de Faulx… » [5].
* 1586 « De Jehan Lespoix sur sa maison qui fut l’hôtel du Miroir.. » [6].
*1669/1685: « Du Sr Hilaire Lespoix sur sa maison du
Miroir tenant audit Courtois (Hector) et
à Guillaume Waitte… » [7].
Rue de Bruxelles
ROI D’ESPAGNE
(HÔTEL DU --) n°23-25 (Voir
Grand-rue)
L’auberge hôtel du Roi d'Espagne, dut déménager. Le 30-4-1885, Melles
Flaminne, hôtelières, demandent à l’administration communale de pouvoir
transférer leur enseigne « Hôtel du Roi d’Espagne » à leur nouvelle
habitation, rue de Bruxelles, n°23-25[8].
On y trouve à partir de 1900, les sœurs Flaminne: Aglaé[9],
Ida[10],
Delphine[11],
cette dernière quitta Binche en novembre 1915 pour habiter Bonsecours.
AUBERGE LEFEBVRE/ n°29
Auberge Désiré
Lefèbvre[12]
est citée dans l'Almanach du commerce en
1868 et 1873.
L'auberge fut tenue ensuite par sa veuve, Clémence Horgnies.
AUBERGE STUBBE/MARTIN,
n°49(Devenu n°55)
L’auberge Constant
Strubbe[13]
est devenue Hôtel Martin[14],
après la mort de son mari, Jeanne Blairon exploite l’auberge sous la
dénomination « Auberge et cabaret Jeanne
Martin »
Rue LOUIS BUISSERET
HÔTEL
CHARLES/SIRA, n° 25
Le 21-4-1907, Omer
Charles, brasseur rue des Passages, loue à Ernest Lux, l'ancienne
brasserie qui est à usage d’hôtel-restaurant comprenant 9 chambres, café, etc..[15].
Devenu hôtel Sira, tenu par Georges Sira[16],
hôtelier et propriétaire.
L’hôtel Sira devint simple café.
Route de Charleroi
AUBERGE
VERSLIPPE, n°10
L’auberge Charles
Verslippe[17]
rémouleur et aubergiste jusqu'en février 1925, il proposait ses services aux
« logeurs »
AUBERGE
BLONDIAUX, n°22
Alexandre Blondiaux [18],
est cité houilleur et aubergiste. De nombreux mineurs logeaient dans cette auberge
qui fut tenue jusqu'en mai 1933. Il partit habiter La Louvière en 1944.
AUBERGE
DESMEDT/BLONDIAUX, n°48
Pierre Desmedt est
aubergiste depuis le 18-8-1894,
houilleur, aubergiste, des logeurs (houilleurs) y habitaient en grand
nombre.
Alfred Blondiaux[19],
lui succéda.
RUE DU CYGNE[20]
CYGNE (Hôtel du --)
L’hôtel du Cygne [21]occupait
un des deux coins de la rue du Cygne sur la Grand-Place :
Du 1er mai au 24 décembre1364 : « Lettres Monsgr. le duck données le XXVe jour
dou mois de may l’an dessudit (1364) pour des despens Monsgr. le duck et ses
gens, fais à Binch al hostel dou chisne, que messire li dus y a al encontre Monsgr. le duck de Braibant le
venredi au disner appriest le sacrement » [22]
L’hôtel
est cité en 1427 : « Odris
Chisaire fils Piere et pour se maison condist a le Couppe estant sour le
markiet tenant à le maison Jakemart Chisaire et Jehan dou Parcq et à le maison
Ernault Bourgois condist au Chisne.. »[23]
De même en 1558 : « ..portant
l’enseigne du cigne en le rue Baldet condist Decrolières.. » [24].
En 1609, la brasserie du Cygne appartenait à Andrieu de Brabant, elle
était tenue par Selvaix Willemotte et ensuite vers 1613, par Jacques Henry
Dusart et Jacques Del Court [25].
En 1639-1640/1643 :
« De
Jacqz Ghobart sur sa maison du Cigne qui fut Me Philippe Dartevelle tenant à
Jean Hosselet et à Pierre Lengrand » [26].
Et aussi en 1654: « De Delle Darloix sur sa maison du Singe
(Cygne) tenant à Pierre Lengrand et à
Jean Hosselet.. » [27].
On mentionne en
1673-1674 et de 1669 à 1685: « De M.
de la Forge au lieu Delle Darloix sur sa maison du Cygne en la rue du Pourcelet tenant à Jean
Hosselet et à Pierre-Jean Hosson…» [28]-[29].
Au Début XVIIIe s. : « Le Sr Nicolas-François de la Forge [30] au lieu de Maigne-Philippine Dartevelle
auparavant Pierre de Brabant sur la maison et héritage en la rue du Cygne, cy
devant rue du Pourcelet, portant pour enseigne le Cygne de pierre en face,
tenant d’une part à Nicolas Galopain et d’autre part à Ferdinand Moreau. »
[31].
Avenue
Charles Deliège[32]
ANGE
Au début XVIIIe siècle:« Antoine
Dezomberge cy devant Jean Delbecque au lieu d’Adrien Tilman…sur leur maison en
la haulte chaussée qu’on souloit dire l’hotel
de l’Ange, tenant d’un costé à l’apothicaire Poucet, de l’autre au Sr de la
Forge et par derrière à une ruelle qui donne issue vis à vis l’église des
Récollets »[33].
BOURGOIGNE (hôtel de --)
Vers 1606, l’hôtel de Bourgogne se situait au coin de la rue de
Mons et de l’avenue Charles Deliège « ...Ostel de Bourgoigne… »[34].
CAUDRON (Hôtel au -)
Hôtel précédent celui
du Mouton
En 1427 : « Jehan Gratoir pour le maison qu’on
dist lostel au Caudron qui
paravant fut Canepin et Robert dou Caudron et à présent au Mouton, tenu par
Jakem. Gillot... »[35].
LA CLEF (Hôtel à la --)
Hôtel
situé à côté de l’hôtel du Mouton
En 1427 : « Thomas de Busegnies à cause de se
feme qui paravant eult espousé Jackemart le Thour pour se maison que on dist à lostel
à le Clef qui fu Jackemars le
Tavernier… » [36].
On mentionne en
1572-1573, 1580 et 1586 « De Jehan
Noyelle sur ses maisons et tenures condist lostel de la clef tenant à Vinchien
Leghait et à la vesve Denis le Bailly… » [38].
LA CLOCHE (Hôtel
à la -)
1427 : « Henrars de Sars pour une maison qui
fu Henri de Bras et Jehan le Creppe que on dist lostel à le Cloque.. »
Une apostille indique : « Guillaume
de Jou et pour le présent hostel aux Trois Rois » [40]
LA CROIX D’OR (HOTEL DE --)
On cite en 1460 : « …maison
que on dist à le Croix d’or.. « »
[41].
De même
en 1564, 1580 et 1586 : « De Nicolas
du Trilz sur sa maison et tenure condist l’hostel à la Croix d’Or tenant à Philippe Ghobart et à luy mesme.. » [42].
En 1654: « De Charles Le Ducq sur sa maison de la Croix
d’Or tenant à la vesve Estien Royart.. » [43]
Suite
à un don de Laurent Moreau aux Pauvres effectué le 25-7-1614, on cite des
rentes :
« De la
maladrie de Binche au lieu Charles Le Ducqz lequel doit 52 L .t. sur sa maison de la
Croix d’Or… » [44].
De 1669 à 1685: « Les hoirs Charles Leducq sur leur maison de
la Croix d’Or tenant aux hoirs Gallemart.. » [45].
En
1739-1740 : « De la
maladrie de cette ville au lieu de
Charles Leducq des deniers nantis en décharge de sa maison de la Croix d’Or et
remployés aux pestiférés.. » [46].
Cet hôtel devint plus tard l’hôtel du Lion d’Or
AUBERGE DELIEGE, n°96
Paulin Deliège[47],
cafetier, tenait de 1912 à 1920 un cabaret et auberge. De nombreux
« logeurs » mineurs pour la plupart, vivaient chez lui.
ETOILE (HOTEL DE L’--)
Le 21-4-1409, eut lieu l’incendie de l’hôtel de l’Etoile appartenant à Henri le Sellier, sur la Haute
chaussée. Plusieurs personnes furent indemnisées pour blessures reçues lors de
cet incendie[48].
En 1427 « Gilliars Poullains pour se maison
qu’on dist lostel à l’Estoille
tenant à Jehan Willemotte et à Jehan le Thieusson .. »[49].
Le
15-6-1573, devant les Jurés Deppe, Houssart et
Ghobert, eurent lieu les
dispositions prises par Gilles Escouillefort, époux d’Adrienne Lobbet, au cas
où ils n’auraient pas d’enfants légitimes, relativement à deux maisons sises à
Binche, l’une à l’enseigne du Pot d’Etain faisant coin à la rue de la Carlerie,
l’autre « à la Haulte Cauchie à
l’enseigne de l’Etoile »[50].
En 1654 « Hippolit Naret sur sa maison de
l’Estoille tenant à Charles Denuict et à Vinchant Rallan au lieu de Marie Henry
pour deux parties.. »[51].
Lion d'or (HÔTEL du --)
L’hôtel du « Lion
d’Or » fut dès 1816, un relais de diligence.
Le
cadastre primitif vers 1825, nous renseigne que la parcelle B.436 (Bâtiment,
cave et jardin) appartient à Legendre Théophile (aubergiste), et Leclercq Adrien-Victor
Le plan Popp
(1860) signale que l’hôtel appartient
toujours à Adrien Leclercq.
A l’extrême gauche, l’hôtel du Lion d’Or, vers 1854.
Lithographie de Hoolants (Série 5)
Une annonce signale qu’à partir du
1er janvier 1862, « M. Vanderlinden de Vos, de l’hôtel du Cerf à
Gand, occupera le grand hôtel du Lion
d’Or, table d’hôte à une heure, écuries et remises » [54],
mais on est sûr qu’Octave-Henri Drisse [55]
et son épouse Marie-Joseph Leurquin reprirent l’hôtel le 1-5-1862. On cite une
vente de vins chez Mr Drisse le 12-2-1865, il tint le Lion d’Or jusqu’en janvier
1881, il partit alors habiter Liège.
En 1869, M . Henri Drisse [56], tenancier de l’hôtel du Lion d’Or,
demande un abonnement pour l’été à la glacière du Waux-hall, pour 5 kg de glace par jour à
condition de ne payer que 10 cts le kg de glace [57].
Le 29-12-1881, Drisse, hôtelier, offre 300 fr. annuellement pour les
fruits de l’ancien jardin d’arboriculture[58].
Par la suite leur fils Ernest Drisse [59]continua
l’entreprise jusqu’en août 1892, il partit alors habiter Ougrée. Une rue de
Binche porte son nom, car le quartier du Centenaire est bâti en partie sur des
terres lui appartenant.
On connaît aussi l’hôtelier suivant, c’est Pierre Boreghem-Lebrun [60].
Le personnel de l'hôtel était composé d'un garçon d'hôtel, un garçon de
café et de neuf servantes qui vivaient à l'hôtel.
L'hôtel du Lion d'Or appartenait, à la
belle époque, à Fernand Biernaux, brasseur à Jumet. Il fut réaménagé et scindé
en deux demeures sur les plans de l'architecte Simon.
Le permis de bâtir fut accordé le
4-2-1909[61].
La
partie Hôtel devient le n° 21-23, elle était tenue par Armand Massart qui y fut hôtelier jusqu'au 10-10-1919
Emmanuel Massart, chirurgien-dentiste diplômé, ex élève des hôpitaux, et
de l’institut odontalgique de Bruxelles, y faisait ses consultations, comme
l’indique sa publicité : « opérations sans douleurs affections
dentaires, émaillage, plombage, aurification, nettoyage de dents, obturateurs
pour perforation du palais. Consultation le jeudi de 9 à 5 h. »
Le 13-12-1912, Mr Massart-Vincken [62],
propriétaire de l'hôtel du Lion d'Or, demanda l'autorisation d'installer un
cinéma dans la grande salle donnant sur la cour (alors n°19) [63].
Les époux Massart quittèrent Binche pour Virelles en avril 1926.
Jean-Nicolas Weber [64]
fut l’hôtelier suivant, il arriva au
Lion d’Or le 23-2-1920, il exerçait auparavant place de la Station. Il y resta
jusqu'en mars 1932, il partit alors habiter Forest.
La partie café devient le n°25, Café du Lion d'Or, il fut tenu par
Louis-Charles Hubert [65], il y resta de mars 1932 à octobre 1933. Madeleine
Maiglet[66]
lui succède de décembre 1933 à mars 1940. Elle partit habiter
Montignies-sur-Roc en juin 1944.
On y trouve ensuite comme cafetier, Paul Babusiaux[67]
du 27-2-1940 à 1959.
LOUP (Hostellerie du --)
On cite en 1578 : « ...Jehan le Voet hoste du Leup... »[68].
Et aussi le 10-6-1599 : Devant les Jurés de la ville de
Binche, Jacques Lemaire, bourgeois de Binche, vend par arrentement à Jehan
Doret père, bourgeois de Binche, pour la somme annuelle de 50 L .t., « une maison grange estable, court ediffices
lieu et tenure gisant à fronct la rue de la Haulte Cauchie en laditte ville de
Binch, portant l’enseigne du Loup tenant à Jean Pottier en action de sa femme,
aussi à l’héritaige dudit Jean Doret et par derrière à la rue des
Masures » [69].
* 1669 : « De la vesve Gille Tahon sur sa maison du
Loup… » [72].
* 1673-1674: « Ursmer Sebille et ses comparsonniers sur
leur maison du Loup en la Haute cauchie, tenant audit Sebille et à la Vesve
Jousoit.. » [73].
* 1673-1674 « Le vesve Ursmer Sebille et consors sur leur
maison du Loup tenant audit Sebille et à la vesve Gille Tahon… » [74].
*1705/1711 « Bauduin
Willemotte sur son auberge portant l’enseigne du Loup tenant à Louis Jounart…»
[75].
* 16-3-1712 : Charles Laloyaux, curé de Merbes-le-Château ,
vend pour 2.000 livres
à Hugues Laloyaux, greffier échevinal de Binche, son frère « les 2/5 part d’une maison gisant à la Haute Chaussée,
tenant à l’hostellerie du Loup et à Antoine Cordier » [76] .
*
Janvier 1715 : « Haute
Chaussée…François Rivière pour sa maison où réside Louis Degueldre et portant
l’enseigne du Loup…2 ayres. » [77]
* XVIIIe s. :« Jean-François
Navez sur la maison portant l’enseigne du Loup paravant Bauduin Wilmotte,
paravant Gille Navez, paravant Jacq Lemaire.. » [78]
*
1739-1740/1745 : « De Nicolas
Maréchal paravant Bauduin Willemotte sur son auberge du Loup tenant à Louis
Jonnart et à Guillaume Laloyaux…. » [79]
* 1760/1765/1768 : « ..François
Fayt sur sa maison, en la haulte chaussée de cette ville, portant l’enseigne du
Loup et deux petites demeures par derrière rue du Vieux marché aux
bêtes.. » [80].
HOSTELLERIE DU MOUTON
De 1564
à 1573, on cite : « De Vinchien
Leghait sur sa maison et hostel du Mouton[81]tenant
à la précédente (Trois Rois) et à luy
meisme… » [82].
Le
9-2-1576 et de 1577 à 1586, on
mentionne : « A Jacques le
Ghayt hoste du Mouton pour une Xe de compaignons qu’il a heu à la procession de
Binch pour une tonne de cervoise de lxiiii s… » [83].
Et aussi en 1580 : « De
Vinchien Leghait pour sa maison et hostel du Mouton à froncq la haulte cauchie
tenant au beghinaige… » [84].
1637-1643 : « De
Anthoine Boussart au lieu de la veuve Jacques Leghayt sur sa maison du Mouton
tenant à luy-meisme et as hoirs Valentin Hauverdin.. » [85].
* 1654 : « De Anthoin Boussart sur sa maison du Mouton
tenant à la précédente (l’Empereur)
et à luy mesme… » [86].
* 1654/1705: « Jean le Ghaitte au lieu de Antoine Boussart
sur sa maison du Mouton… » [87].
* 27-6-1705 : « Antoine
et Jenne Legaitte, frère et sœur en célibat, sans père ni mère, vendent à
Charles Bataille, Jacques Delcoutte et Bauduin Gillot, Mres et confrères de la
chapelle Saint-Pierre et de Notre-Dame de Lorette, en l’église paroissiale de
Binche, les deniers provenant d’un remboursement fait par ledit Legaitte des
deniers capitaux d’une rente de 7 livres due sur sa maison et hostellerie du
Mouton. »[88].
*
Janvier 1715 : « Jean Leghait
pour sa maison portant l’enseigne du Mouton…3 ayres. » [89]
* 1719-1722 : « De Nicolas Chevalier au lieu de
Guillaume Monguette lequel doit 100 sols l’an de rente en la Haulte chaussée
ten. à Ursmer Baudoux à cause d’une partie de l’héritage du mouton et à la
veuve Ursmer Coppin.. » [90].
* 16-9-1737: Anthoine Destornariche, fourrier du
régiment de Vourvenbrand est arrivé avec un détachement consistant en un
sergent, un caporal et neuf soldats, ils ont l’autorisation du grand bailli de
Hainaut de loger à Binche. La Ville leur fourni le gîte et le couvert chez Jean
Leghait, hoste du Mouton [91]
MOUTON BLANC (HÔTEL-CAFÉ-RESTAURANT DU
--) n° 65
Cet hôtel-café-restaurant était tenu en 1879
par Alfred Graux-Delattre [92] au 65 Grand-Rue[93]. Il était tout à la fois
hôtelier, cafetier, marchand-cordonnier, et fabricant de costumes de Gilles.
Oscar Godefroid-Buisseret [94]
tint ce restaurant depuis janvier 1939. Suite à la guerre, la réouverture de
l’ « Hostellerie du Mouton Blanc », avenue Albert Ier eut lieu en février 1949[95].
POT D’ETAIN (hôtel et brasserie)
*12-2-1367 :
« ...la maison...condist l’ostel
au Pot d’Estain, seans sour la grande
cauchie.. »[96].
* 1427 : « La vesve Jehan de Robais le père,
pour se maison qui fu Colart Charlet, tenant de deux costez à l’héritaige de le
maison du Pot d’Estain… »[97].
La brasserie du "Pot d'étain" est citée de 1491 à 1554 dans
les registres du Domaine de Binche, la recette y prélève 22 sols pour " ...tous brassins de houppe chervoise, hamborse,
brusmart, ou forte keulte ou autres breuvages de grains, brassez en la cambe du
Pot d'estain".
Elle est tenue à ferme par les brasseurs suivants:
En 1491-1499: Jehan Bonneau[98].
1505-1509: Pierart
Dassonville[99].
1520-1523: Jehan Lescaillier[100].
1524-1526: Collart Lescailler[101].
* 1564: « Des hoirs Pière
Thiery et la vesve Anthoine Cornet sur leurs maisons et tenure du Pot d’Estain
et du Lion d’Or tenant à l’issue Jehan du Maret et à Franchois
Brasselet… »[102].
* 15-6-1573 : « …dispositions prises par Gilles
Escouillefort, époux d’Adrienne Lobbet, au cas où ils n’auraient pas d’enfants
légitimes, relativement à ses deux maisons sises à Binche, l’une à l’enseigne
du Pot d’Etain faisant coin à la rue de la Carlerie, l’autre à la Haulte
Cauchie à l’enseigne de l’Etoile… » Jurés : Deppe, Houssart et
Ghobert[103].
* 1543 : « …pour...brassins
brassez par Anthoine Cornet ci-devant demorant dans la maison du susdit Andrieu
Hannart et présentement tenant la brasserie du pot d'estain que tient à ferme
Baulduin le Cocq pour deux ans... »[104].
* 1545 : Le pot d’estain est affermé à Jehan Plicette[105].
* 1554 : Le sac de Binche de cette année ruina cet hôtel et brasserie:
« ..Pour ce quy est de la
chambre et brasserie de l'Arbrisseau ainsy que de la brasserie du Pot d'estain
de même que la brasserie de Jeahan Bulteau, la recette de ce compte n'en a rien
receu, les trois ayant estez bruslées à la prinse de Binch.. ».Elle
était affermée à ce moment par Damien Andrieu [106].
HÔTEL DU CERF /HÔTEL DU ROI D’Espagne, n° 8
L’auberge-hôtel du Roi d'Espagne, est située à
l'emplacement de la pharmacie Davoine et du magasin La Boule rouge [107]actuels.
Déjà mentionné en
1427: « Pierars Malmais et pour se
maison que on dist lostel au cherf qui paravant fu Henri le Merchier, tenant à
le maison Jehan de Robais et à Etienne Chisaire… » [108] .
En 1460 : L’hôtel du Cierf est cité dans le registre des rentes et obits
du chapitre.
De même en 1564 : « De
Robert Posteau au lieu Gilles Guillot sur sa maison et hostel du Cherf tenant à
Jehan du Maret »[109].
Le 5-9-1572, devant les
Jurés Bauduin Deppe, Me Godefroid de Trahegnies, Jehan Houssart et Cornil
Ghobert [110],
« Robert Posteau, marchand demeurant
à Binche, touchant son mariage futur avec Marguerite le Cocq, requiert comme
mambour Jehan de Jeumont et Andrieu le Cocq et déclare qu’eux futurs conjoints,
jouiront leur vie durant de sa maison lieu et tenure portant l’enseigne du
Cherf, gisant à front la Haulte Cauchie à Binche, ayant issue sur la rue allant
à Saint-Franchois, tenant à Guillaume le Voet et à Godefroid Jacquet et à la
veuve Loys de Saint-Pol.
S’ils n’avaient pas d’enfants, après le dernier survivant,
ce bien échoira à Jean, Gabriel et Anne Posteau frères et sœur enfants du dit
Robert et de feue Amalberghe le Tresson, sa première femme, également pour eux
et leurs hoirs, à la charge de 56
L . de rentes dues à Christophe Blommart.. »
En 1572-1573, 1580 et
1586 : « De Robert Posteau sur
sa maison, logis et tenure du Cerf tenant à Godefroit Jocquet et Guillaume Le
Voet. » [111].
* 1654 : « Des hoirs Charles Posteau sur leur
hostellerie du Cerf tenant à Guillaume Stassart en action de sa femme et aux
hoirs du Puich »[112].
En 1669, un locataire
est signalé: « Foeuillien Du Trieu
sur sa maison du Cerf…»[113].
*1685 : « Les
hoirs Charles Posteau sur leur
hostellerie du Cerf… » [114].
En 1699, on signale que la maison du Cerf est vide depuis
une demi année ainsi que la cave du Cerf[115].
Le 23-7-1700 et le 18-1-1703: « Claude Rainze, hostellain du Roy d’Espaigne demande de lui
faire ordonnance de 32 pattagons pour despenses faite par luy depuis le 31 may
dernier jusqu ‘au 16 juing ensuivant par six domestiques de Mr le comte de
Berleps gouverneur de cette ville[116]
et pour la nourriture de six chevaux de carosses lors de son entrée dans cette
ville … »[117].
* 1705 : « La Veuve Pattier sur son hostellerie
du Cerf… »[118]
* Janvier1715:
Le 19-1-1737 :
« ..le Sieur Thomas Michel, marchand
de vins et aubergiste demeurant en cette ville a payé les droits d’afforage pour
vins qu’il a vendu en 1736…»
* 1739 : « De Thomas
Michel sur son auberge du Cerf à présent le Roy d’Espagne tenant à Charles
Bataille et aux hoirs Jean Bourgeois...» [123].
A partir de 1762, c’est Philippe Sainte-Marie[128]
qui est aubergiste du Roi d’Espagne[129],
il était déjà aubergiste auparavant à la rue de la Triperie :
* 12-8-1762: « Philippe
Sainte-Marie, obergiste (sic) de
cette ville se trouvant sans écuries pour loger des chevaux à cause que la Delle.
Bosquet de laquelle il tenoit à louage une écurie derrière sa maison, vu
qu’elle fait présentement construire à usage de maison manable, demande que MM.
Voulussent luy donner en arrentement perpétuel trois petites maisons gisantes
en la rue de la Triperie derrière celle du remontrant pour pouvoir y faire des
écuries, ces maisons appartenant à l’hôpital… » [130].
* 1777 : « A Philippe
Sainte-Marie, hoste de l’auberge du Roi d’Espagne, 69 L . pour logement de
trouppes passagères du 4-12-1775 au 27-12-1776… » [131].
* 1785 : « A l’aubergiste Sainte-Marie 35L. 12 s. pour le logement de différentes
trouppes… »[132].
* 1791 : « A
l’aubergiste Sainte Marie 45L. 10 s. pour un lit qu’il a fourni pour coucher le
chef directeur de la patrouille de la
garde bourgeoise en 1789… »[133].
Le 29-4-1797, on mentionne François Sainte-Marie[134],
veuf, il y vit avec son fils, un
domestique et deux servantes[135].
Son fils Norbert lui succéda[136]
Le cadastre primitif vers 1825, renseigne :
Parcelle
B,470, maison, Sainte-Marie Norbert, aubergiste
B,470, cave, Sainte-Marie Norbert, aubergiste
Le 1-4-1851, il y a une vente de bovins chez Norbert Sainte-Marie, hôtelier du Roi
d'Espagne.
Une période intermédiaire dans l’histoire de cet hôtel est due par sa
reprise de MM. André Delval et Charles Docquier, hommes d’affaires travaillant
dans le chaufournage [137],
et brassant différentes affaires. Une gravure et publicité du « Roi
d'Espagne » renseigne que l'hôtel est tenu par MM. Delval et Docquier,
elle spécifie « nous serons pour eux (les voyageurs) non seulement
des hôteliers plein de zèle mais encore des intermédiaires toujours prêts pour
tous les soins indicationnels (sic), commissions et démarches utiles à
leurs intérêts dans notre localité »[138].
Le service des diligences pour Mons se fait au départ du Roi d’Espagne
le matin vers 8h30 et 16h30[139]
Le 31 mars 1862, à la requête des Sieurs Delval et Docquier, hôteliers
et entrepreneurs de messagerie, tenant l’hôtel du roi d’Espagne, vente publique
de meubles, livres, chevaux et voitures pour cessation de commerce et
liquidation par l’huissier Victor Gaillard. On connaît ainsi le mobilier de
l’hôtel : « Un superbe piano buffet, une
très jolie pendule en bronze dore, deux statuettes, deux lampes carcel en
porcelaine, deux grandes glaces de salon, plusieurs pendules en marbre avec vases et statuettes en
bronze, glaces, poêles avec accessoires,
candélabres, etc., etc
.Une grande table en acajou avec allonges, une idem en
demi-lune, une console, un guéridon et plusieurs autres tables aussi en
acajou.
Un
ameublement de salon comprenant un canapé, un fauteuil et six chaises en
velours rouge, un lustre doré à dix bougies, tapis de pieds, rideaux, stores,
etc., etc.
Un
ameublement de salle à manger, comprenant un superbe lustre en bronze, bonheur
du jour, armoires, console, tapis, rideaux, stores, canapé, chaises en crin, etc., etc.
Assiettes, carafes, vaisselle de
toute nature, ustensiles de cuisine, linges de table, draps de lit, couteaux, fourchettes, etc., etc.
Secrétaires, commodes, coffre-fort, lavabos, literies,
dix bois de lit en acajou et autres avec leurs garnitures, matelas,
couvertures, draps, oreillers, traversins, etc., etc., descentes de lit, tables de nuit, carpettes, chaises diverses,
etc.
Une quantité de bouteilles vides, une
cuisinière, un comptoir, un pétrin, plusieurs
tables de cuisine, armoires, échelles, balances, etc., etc., et autres objets
dont le détail serait trop long.
Livres. Ouvrages d'histoire, de
littérature et
de droit, bibliothèque, bureaux, cartons, etc., etc.Chevaux et Voitures. Six chevaux, deux diligences et un omnibus.
La vente se
fera au comptant avec augmentation de 10% pour frais.
N.B. L'hôtel du Roi d'Espagne
étant a reprendre aussitôt après la vente ainsi que la concession du service de
Messagerie de Binche a Mons, les personnes qui voudront traiter à cet égard
sont priés de s'adresser a Me Félix Martha, Avocat a Charleroi[140].
L’hôtel fut probablement repris par Joseph-Clément
Dessigny-Gantier [141],
hôtelier. Il emploie une fille de quartier, une servante, une cuisinière, un
garçon d’écurie et un facteur de messagerie, ceux-ci habitent l’hôtel pendant
période 1857-1870.
La
messagerie de Binche à Thuin et les correspondances d’omnibus avec les convois de chemin
de fer se font de l’hôtel, un service spécial pour les marchandises expédiées
par chemin de fer[142].
A partir de décembre1867, Philibert Lekime [143]est
l’hôtelier suivant, il venait de Montigny-sur-Sambre où il exerçait auparavant.
Le 21-12-1871, une vente de vin en bouteilles est organisée par Philibert
Lekime, hôtelier de l'hôtel du Roy d'Espagne pour cause de changement de
domicile[144].
Il Quitta Binche pour Tubize le 5-1-1872.
26-4-1873
François Rolin, marchand de meubles à Bruxelles vend chez les demoiselles
Lavau, hôtel du Roi d’Espagne, une quantité de meubles neufs le lundi 28-4-1873,
par les soins du notaire Lecocq [145].
TROIS ROIS (HOTEL DES --)
Hôtel se trouvant avenue Charles Deliège, touchant à l’hôtel du
Mouton et ayant issue rue de Mons.
1460 * S.G.
A.E.M., rentes du chapitre
« ...maison
que on dist a Trois Roys… »
Le 20-6-1560, devant les Jurés Me
Godefroid de Trahegnies, Pierre le Voet, Philippe Fiefvet et Jehan Houssart: « Gilles Corné tisserant de toile
demeurant aux Rocquettes, faubourg de Binche, a vendu à Marie Bosquet,
dernièrement veuve de Pierre Moreau, qui de premier fut épouse à Jehan de
Bohan, demeurant à Binche, deux maisons
, grande et petite, gisant à front de la rue de la Carlerie à Binche, joignant
l’une à l’autre, tenant aux hoirs Jehan Troye, aussi à l’héritage Richard Maben
et par derrière à l’héritage des Trois Rois, pour en jouir sa vie durant et
après elle aller à Bertrand de Bohan le fils qu’ elle a eut dudit feu Jean de
Bohan son premier mari.
La dite
grande maison est chargée de 100 s. de rente, et la petite maison devra aller à
Collart et Quentine Moreau ses fils et fille demeurés de son mariage avec feu Pierre Moreau, à charge de payer 10 s. de rentes.. »[146].
* 1564: « De la vesve
Guillaume de Faulx sur sa maison des Trois Roys tenant à Jehan Comblet et à
lostel du Mouton… » [147].
* 1572-1573/1580/1586 :
« De Remy de Faulx [148]
pour sa maison portant l’enseigne des Trois Rois tenant à Jehan Comblet et au
logis du Mouton… » [149].
UNIVERSEL (HÔTEL -RESTAURANT A L’--) n° 28
Commerce (HŌTEL-cafÉ --) n° 27
L’hôtel
et café Weber [153]
devint plus tard « L’hôtel du Commerce » tenu par Arthur Willain [154]jusqu'en
juin 1925. Paul Humbled [155]
lui succède. Il demande à placer une terrasse couverte devant son établissement
le 30-3-1926, mais cela lui est refusé[156].
L’hôtel fut réquisitionné par les Allemands pendant l’année 1941, il était tenu
alors par les frères Cantineau, ils reçurent alors des indemnités pour cette
occupation[157].
ESPÉRANCE (HÔTEL DE L’--) n°1
Le 16-10-1912, l 'hôtel
fut donné en apport par Fernand et Rodolphe Paternotte, brasseurs, à la société
"Paternotte Frères".
On trouve ultérieurement Théophile Jacob [160]
hôtelier, jusqu'en 1930 au moins, suivi de Gaston Devos [161]
restaurateur depuis le 19-5-1926 jusqu'en 1940.
Maurice Leclercq [162]
chef cuisinier puis hôtelier-restaurateur, arriva à Binche en décembre 1940,
mais décéda inopinément en 1942. Suite à ce décès, on vendit l'hôtel le 3-4 janvier 1942[163].
Néanmoins Marie Noël finit le bail en 1946. Jean-François Van
Craenenbroecks [164]
lui succède. Cet hôtelier-restaurateur, était arrivé d’Uccle en novembre 1946.
A LA VILLE DE MONS n°2, (24, ancienne rue de la Station),
Le café Alexandre
Couvreur[165],
est cité en 1912
Devenu hôtel-restaurant, Alexandre Couvreur le tient avec sa seconde épouse.
Monarque (HÔTEL, CAFÉ
du --)
En 1892 Alfred Termolle-Delmer [166]
renseigne dans sa publicité:
« Chambres pour voyageurs
depuis 1, 50 Fr., table d'hôtes à midi » [167].
Les époux Termolle quittèrent Binche pour Merbes-le-Château en juin
1900.
L’hôtel se serait appelé « Hôtel de la Samme » un petit moment
(1905 env.)
L’hôtel du Monarque, devint café
et fut tenu par Bertha Deliège[168]
épouse Termolle, pendant la période 1925-1940.
Le 1-5-1925, Edgard Termolle demande l’installation d’une terrasse
devant son établissement[169].
Impérial (HOTEL --)
L’hôtel construit en 1902 par
les Demoulin, frère et sœurs, de Ixelles s’appelle «l’ Impérial », il
était tenu par Georges Basse [170]comme
le montre une carte postale de 1909 [171].
En fait son passage fut de courte durée, car il arrivait de La Louvière en octobre 1909
et quitta Binche pour vivre à Maubeuge en juillet 1910. Il prit la dénomination
d’hôtel Terminus.
TERMINUS (HÔTEL
--)
Le Terminus L’Impérial
Tourelle (HÔTEL de la --)
L’hôtel de la Tourelle était tenu par
Alex Magin-Delinge [172]
arrivé à Binche en février 1902, et y vécut jusqu’en juin 1908. Comme le
renseigne sa publicité, il débite « La vraie,
l’excellente Munich des trois Suisses, dégustation à l’hôtel de la Tourelle , place de la Station »[173].
Il fut suivi peu de
temps par Alexis Roosens [174],
qui partit habiter Belgrade (Namur) le 3-10-1911.
Cafetier jusqu’alors sur la Grand-Place , n° 46, Léon Everbecq [175]
tint ensuite l’hôtel de 1911 au
7-5-1913.
L’hôtel de la
Tourelle et presque en face dans la rue de la Station , l’hôtel Joseph
A sa suite Armand Massart [176]
fut restaurateur jusqu'au 14-10-1924, il tiendra plus tard l’ hôtel du Lion
d'Or sur la Grand-Rue. L ’hôtel
devint par la suite le café Poty.
GARE (HÔTEL-CAFÉ de la --) n° 28
On sait très peu de choses sur ce restaurant tenu par Paul Schmidt [177]
et ensuite par son épouse jusqu'en 1940 env.
Ce café était orné de peintures représentant différents coins de Binche
et signées par Barthélémy Ruwez, par ailleurs, créateur de nombreuses
enseignes.
Pendant la guerre 1940-1945, les Allemands firent des déprédations au
« Café de la gare » appartenant à Amédée Empain, il en fut indemnisé[178].
RUE ZEPHIRIN FONTAINE
AUBERGE
CHARLES MOTQUIN n° 85 ?
Charles
Motquin[179] cité
ménétrier, charretier et aubergiste, Pavé de Binche à Morlanwelz (Route provinciale), est cité en
1831.
Le 16-11-1832, Théophile Lebrun, maquignon de chevaux demeurant à Binche se
permit d'enlever un mulet hongre appartenant à Charles Cruppe, propriétaire à Binche. Ce mulet se trouvait dans
l'écurie du Sr Charles Motquin,
aubergiste à Battignies.
Il est encore
cité cabaretier le 8-10-1833, il a alors 58 ans.
AUBERGE URSMER DEGREVE, n°
110 ?
Ursmer Degrève[180]
aubergiste et cabaretier, parti habiter Binche en mars 1848.
Grand-Place
EPEE (HÔTEL à l’-)
* 1427 : « Nicaise
Conedos…doit une rente…item por se maison condist l’hostel a l’Epée qui fu Jehan le Werche tenant à le maison Colart
Rothier et à le maison les hoirs Collart Lefebvre qui fu les lombars »[181].
PAON (HÔTEL du --)
En 1427 : « Jakemars
de Prices et pour se maison et tenure de l’hostel au Paon qui fu Jehan Bouclin… » [182].
* 1460 : « ..osteil
au Paon sour le markiet…» [183].
*
1564/1573/1580/1586: « Des hoirs
Ambroise Ghobert sur leur maison et tenure au Paon tenant à Jehan Bourgeois et
à la vesve et hoirs Collissart [184]… »
[185].
*
1637-1638 : « De Vinchent
Busquint sur sa maison du Paon tenant à la vesve Salomon de Bruxelles et à Me
Jean Philippe »[186]
1639-1640/1643 : « De
Jaspar Busquin sur sa maison du Paon tenant à la vesve Salomon de Brusselles et
à la vesve Me Jean Philippe… » [187].
*1705: « De
Gaspar Busquin sur sa maison dite le Paon tenant au médecin Lucqz.. » [188].
HÔTEL
« Au
Porc Gras » n°(52 en 1870-90), 45 (44 en 1912) (35 en 1995)
Paul-Henry Lebeau[189] tient l’hôtel
du « Porc gras » jusqu’en 1902.
Le 25-5-1902, Jules Paternotte et fils, brasseurs,
louent l’hôtel et les meubles à Auguste
Haubruge[190]. Au cas
où il devrait quitter ou remettre son commerce, il lui serait loisible de se
rendre acquéreur des meubles loués. Le preneur de bail s’engage à prendre
toutes les bières nécessaires à son débit chez les dits Paternotte. Ces
derniers s’engagent à fournir de la bière de qualité[191].
A. Haubruge décéda le 18-1-1932, sa veuve continua jusqu'en novembre 1933.
La
publicité renseigne "Hôtel de 1er ordre, téléphone 178"
Rue Halle aux Filets
AUBERGE
DE L’ETOILE, n°8
Sous la Révolution française existait l'auberge de l'Etoile tenue par Augustin Debrulle[192] depuis 1790. Ils sont cités cabaretiers au
recensement de 1797.
C'est dans cette auberge
qu'eut lieu le 14-3-1797, l 'assemblée
cessionnaire pour la tenue des élections primaires du département de Jemappes
et de l'assemblée communale du 28 mars de l'an 6 [193].
Rue
de Mons
LE CORNET
Le 2-10-1557 : « Antoine Cornet fils Adam veut que sa femme et ses enfants
jouissent après lui de sa maison et hostel à l’enseigne du Cornet et de sa maison à
l’enseigne du Lyon d’Or… » [194].
Le 22-6-1568, devant
les Jurés Moreau, du Trieu et Sebille, Barbe Arthoix veuve Anthoine Cornet
« s’est fait morte » [195]
au profit de Marie Cornet sa fille, épouse de Philippe de Jeumont et lui cède
« l’héritage d’une maison, brasserie
et hôtel gisant à front de la rue de la Carlerie, tenant à l’héritage du
Cornet, appartenant à ladite veuve.
Ce Fait, Philippe de Jeumont comme mari de Marie Cornet et
de son gré et se faisant fort du consentement de Jean Cornet son beau-frère a
baillé à rente cette maison brasserie et hôtel à Franchois le Cocq, cambier
demorant à Binche »[196].
Le 4-4-1579, devant les
hommes de fief du Hainaut, Baudry Dassonleville, François Pittebort,
Michiel du Mesnil « Marie Lambert
veuve Mathieu Arthois demeurant à Mons, Jean Darcq teinturier demeurant à Mons
et Jean Arthois fils de ladite Marie Lambert, suffisamment âgé, ont vendu à
Nicolas Deslens, clerc demeurant à Mons, pour le prix de 100 L . , 1/9e pris
dans la moitié de la maison et brasserie dite du Cornet, avec la part de rente
revenant à la dite Marie Cornet, en
action de Anthoine Arthois son fils, par le trépas de Marie Cornet sa nièce,
rente portant sur 100 s. l’an sur plusieurs héritages gisant à Binche selon le
partage fait par ledit Darcq, Jean Arthois, les hoirs Andrieu Sebille et autres
hoirs héritiers de la dite Marie Cornet. Cette vente sera agréée par Anthoine
Arthois fils, frère et beau-frère des comparants sitôt qu’il sera âgé de 15
ans.. » [197].
Le 6-7-1579 : « On fait savoir que Philippe le
Clercq, Bauduin Tayenne, Antoine et Gabriel Sebille frères, Leurent de Behault
mari de Anne Sebille, Gilles Escouillefort époux de Marie de Gricourt, se
faisant fort de Clarisse de Gricourt, fillet à marier, tous demeurant à Binche,
ont mis à rente une maison, chambre, édifices, portant l’enseigne du Cornet
gisant à front de la rue de la Carlerie, tenant à l’héritage du Lion d’Or
appartenant à François Le Cocq, d’autre part au dit Philippe le Leclercq et par
derrière à l’héritage du Cherf, en laquelle maison ledit Leclercq doit avoir la
juste moitié par achat, et aussi Bauduin
Tayenne aussi par achat de 4/9e en l’autre moitié, les dits Anthoine
et Gabriel Sebille leur appartenant de par leur patrimoine, chacun pour 1/9e,
Leurent de Behault en action de sa femme aussi 1/9e en la dite moitié
et le dit Gilles Escouillefort à titre de sa dite femme et de Clarisse de
Gricourt chacune pour 1/9e en
cette moitié.. » [198].
Le 30-12-1704 : Antoine Bosquet [199]fait
rapport devant le notaire André « d’une
maison et édifices, gisante en la rue de la Callerie de la dite ville de
Binche, portant l’enseigne du Cornet, tenant à Jean Carlot et Michel Wassart,
ainsi que toutes les rentes lui appartenant du chef de son épouse, Catherine
Ghobart » [200].
CHEVAL
BLANC (HÔTEL DU --) (Rue de Mons)
Le 7-6-1815, le chirurgien refusa sa porte aux
militaires prussiens de passage, en conséquence, trois militaires sont logés
chez Séverin Cordier[201], aubergiste du
« Cheval blanc » aux frais du dit courtois [202]
Le 6-4-1831, Florent
Thomas, propriétaire à Binche fait assigner par l'huissier V. Gaillard, Séverin Cordier,
aubergiste à Binche (son fils s'appelle Louis) pour non payement d'une somme de
33 florins 7 cts.
Après
le décès de son mari, Ursmarine Deneufbourg
continue l’exploitation de l’auberge.
En 1861, une annonce signale qu’ « à
cause de la stagnation des affaires, un nouveau dépôt de fabrique, draps et
nouveautés d’été, sera tenu chez Eugène Martin et Cie, hôtel du Cheval Blanc,
rue de Mons [203].
CROIX
BLANCHE
Le 6-7-1724 : « Joseph
Frognu demande de pouvoir mettre l’enseigne de la Croix Blanche à la maison de
Glaude Gillot rue de la Callerie.. »
[204].
Le 28-4-1736, Léopold-Philippe, duc d’Arenbergh, Grand bailly
de Hainaut, informe qu’un corps de treize soldats du regiment de Wurmbrant, allant à Salmagne, passera par
Binche, et oblige la Ville à leur procurer un logement et le simple
couvert :
« conclu de convenir avec un aubergiste de cette ville »,
elle s’arrange avec Joseph Froignu pour deux patards à chaque homme[205].
Le 27-5-1780, on mentionne : «…petite rue de l’Issue du Cerf…tenante à
l’auberge de la Croix Blanche… »[206].
* 1787 : « …sa maison ditte la Croix Blanche à l’un des deux coins de la
rue du Cerf, à son débouché dans la rue de Mons » [207]. C’est donc l’hôtel qui deviendra plus
tard l’hôtel des marchands.
LION D’OR (AUBERGE DU --)
C’était l’auberge
Charles Milcamps, citée de 1778 à 1791 [208],
de nombreux militaires y logèrent :
- « A Charles Milcamps 10 L . 4 s. pour logement de 15 soldats
invalides passant le 13-8-1778.. » [209].
- « Payé à Charles Milcamps ..pour logement de soldats recruteurs
depuis le 6-11-1780 jusqu’au 14-4-1781 » [210] .
- « A
l’aubergiste Charles Milcamps pour logement de troupes … »[211].
- « A l’aubergiste Charles Milcamps pour différents logements
et dépenses faites chez lui par deux détachements de dragons du régiment
d’Arberg…16 L. »[212].
L’auberge est citée lors du recensement de l'an IV (1795).
Le 28 pluviôse an 5 (16-2-1797), cette
auberge fut suspectée d'être le dépôt "de gros sous faux" et de
servir de refuge à "un chef de brigands"[213].
Elle est encore citée le 11 messidor an 11 (1-7-1803).
L'auberge du Lion d’Or, rue de Mons, fut tenue par succession à
Marie-Augustine Milcamps, épouse Jean-Baptiste Pourbaix, fils, avant de
s'établir définitivement sur la Grand-Rue [214].
Le cadastre primitif, vers 1825, renseigne
Parcelle
B,619a Milcamps Charles et Pourbaix
Jean-Baptiste, aubergistes
B,619b
Milcamps Charles et Pourbaix Jean-Baptiste, aubergistes
Le 1-12-1834, devant le notaire
Wanderpepen, Jean-Baptiste Pourbaix, père, entrepreneur de diligence, Charles-Jean-Baptiste
et Louis Pourbaix, marchands, Charlotte Pourbaix, épouse Michel Levie,
opticien, Thérèse Pourbaix, épouse François Schoorts, serrurier, tous demeurant
à Binche, Amélie Pourbaix épouse François Pauwels, aubergistes à Mons, et
Julie-Joséphine Pourbaix, épouse César-Alexis Dutronquoy, médecin de bataillon
en garnison à Tournai, vendent à Pierre Deschamps, cocher à Ressaix et Rose
Pourbaix, propriétaire à Binche, par moitié de :
53/70e de ¾ d’une maison, écurie, et
dépendances, sis rue de Mons.
-
tous les meubles, diligences, cabriolets et effets mobiliers qui sont de
la maison ci-devant désignée.
Le tout estimé à 7.000 fr. pour les
immeubles, et 7.000 fr. pour les meubles.
Le plan Popp (1860) nous apprend que
cette maison appartient à Pourbaix-Boulanger, veuve Jean-Baptiste.
marchands
(HÔTEL des --) n° 22 devenu n° 24
En 1825, le cadastre indique que l’hôtel appartient à
Pierre Babusiaux[215],
aubergiste.
Vers 1860, le départ de la diligence vers
Mons se fait de l’hôtel des Marchands[216].
L’hôtel des Marchands appartient par
succession à Edmond Babusiaux[217],
hôtelier, vers 1860 (Plan Popp), ce dernier est aussi chef de station du chemin
de fer du Centre.
M. Chauvaux Raymond,
chirurgien-dentiste rue des Clercs à Mons « informe sa clientèle de Binche
qu’il descendra le 1er mercredi de chaque mois à l’hôtel des Marchands, rue de
Mons à Binche, où on pourra le consulter de 10 h du matin à 3 h de
relevée. » [218]
En 1901, eut lieu la vente par le notaire Paulin Gaillard d’une
belle et bonne maison de commerce sise à l’angle des rues de Mons et du Cerf
enseignée « Hôtel des marchands » avec trois portes d’entrée et un
corridor[219]. L’établissement est
acheté en mai 1901 par Louis Daumerie [220],
matelassier et aubergiste. Par la suite ce sont ses enfants qui tiennent la
maison, mais ce n’est plus un hôtel. Cette maison deviendra la Maison du Peuple
en 1925.
voyageurs (HÔTEL des --)
Il succède à l’hôtel des Marchand en 1914.
MAISON GUSTAVE CORDIER, n°150
Cabaret Gustave
Cordier[221]
cafetier de 1921 à 1926. Il héberge des logeurs.
Rue Notre-Dame
LA COURONNE
*
1579 : La brasserie de l'Hôtel de la Couronne était tenue par Paul du
Frasne[222].
Il faut attendre le 18e siècle pour que cette mention
réapparaisse dans les archives, s’agit-il de la même Maison ? La question
est posée.
On cite en 1705 : « De
la vesve Jean Deliège sur sa maison portant l’enseigne de la Couronne… »[223].
Le 30-7-1709 : « François
Buisseret demeurant à Prische, vend la
moitié, part qui lui compète à titre de Marie-Gabrielle Delanne sa femme, pour 1015 livres 4 sols, à
François Losson, son beau-frère, époux Marie-Françoise Delanne possédant
l’autre moitié, de plusieurs rentes, dont :
La moitié
d’une rente de 6 livres 4 sols, que
doivent les héritiers Jean Deliège, sur leur maison et héritage à froncq de la
rue Notre-Dame, portant l’enseigne de la Couronne, et tenant à la veuve
Lenglez. » [224].
Rue de l’Oie (Rue de l’Enfer)PHILIPPON
L’hostellerie
et brasserie Philippon est située rue de
l’Enfer
Le 11-8-1701 « Mr de Peres prévôt
subsidiaire et lieutenant prévôt déclare vouloir bien assoupir amiablement le
différent qu’il a contre Philippe Dupont pour injures et calomnies qu’il a
advenant proféré en la maison de Jacques Philippon, hostelain en ceste ville ».
Rue de Versailles
Gare (GRAND CAFÉ DE LA --)
Le
« Grand café de la gare » était tenu par Aimé Maiglet dit Bibi[226].
Une de ses publicité dit qu’il « tient café près de la Station , à partir de ce
jour il pourra fournir du poisson à l'escavêche préparé chez lui à des prix
très modérés » [227].
Son fils, Gustave [228]
continua l’entreprise avec son fils Georges[229].
Une
annonce signale « Les retardataires feront bien de
s’inscrire sans retard à la société de Paysans pour 1904 établie chez Georget
Maiglet, Grand café de la gare, rue de Versailles, mise 5 Fr. »[230].
Avenue wanderpepen
Cheval Rouge (AUBERGE du --) [n° 301 (numérotation continue)]
Le café-auberge du
« Cheval rouge » disparut lors de l'ouverture de la rue des
Tanneries.
Le 6-11-1852, le juge de paix Charles
Derbaix ordonne au vétérinaire Godefroid-Désiré Degueldre de se rendre chez la
veuve Bury, aubergiste du Cheval Rouge, pour procéder à l'examen d'un âne
malade appartenant à Dominique Savance, ânier.
L’auberge appartient alors à Marie-Thérèse Sebille [231]
qui continua l’exploitation de l’auberge de son mari.
Damade/ROCHEZ
(HÔTEL
--) n° 74
L’Auberge Damade, fut fondé par Julien Damade [232],
aubergiste et cabaretier.
Il eut 3 filles dont
Léonie Damade épouse Emile Rochez [233].
Ceux-ci sont cités aubergistes en 1873, ils y resteront jusqu’en août 1899,
date où ils partirent habiter Buvrinnes.
L’auberge
passa ensuite à Léon Rochez [234] par succession. Il y a 4 cochers et 3 domestiques à cette
époque. Il devint par la suite
marchand de chevaux, et pouvait héberger dans ses écuries, 80 chevaux[235].
Rue
Saint-Paul
Hôtel des Remparts n°28
Hôtel appelé, créé en 1998, terrasse sur le
jardin donnant sur le rempart Saint-Georges. Il est à l'abandon de nos jours.Rue de la Station
Joseph (HÔTEL --)
En 1879, Joseph Boreghem ancien garçon de
l’hôtel du Lion d’Or informe le public qu’il vient d’ouvrir dans la dite ville un café-restaurant rue Neuve de la Station , beefsteaks,
jambons à toute heure. Prix modérés[236].
En 1885, Joseph Boreghem informe sa
nombreuse clientèle qu’à l’occasion de l’ouverture de son nouvel
hôtel-restaurant, rue Neuve de
Sa publicité signale que le menu
du dîner à 2 fr. de midi à 3 h.
A partir du 1er
avril reprise de l’hôtel du Lion d’or par le propriétaire de l’hôtel Joseph[238].
L'hôtel
fut vendu de gré à gré en 1892[239].
PEROU (HÔTEL DU --)
Le 20-5-1890, Léon Watelet
demande l’autorisation d’exhausser sa maison enseignée « Hôtel du
Pérou », rue de la
Station. Il y fut autorisé le 30-6-1890[240].
No non attribué
* Goffaux
Alexis, hôtelier, x 1°- 10-9-1856, Gervais Caroline ; x 2°- Binche
11-6-1866, Dujardin Joséphine, ° Estinnes-au-Mont 1825
Place
de Battignies
Cette auberge est citée en 1861-70
Le plan Popp renseigne l’auberge au coin de la place
de Battignies et de la rue de Namur
Le cadastre de Battignies nous renseigne sur cet hôtel
cadastré parcelle A.178
1855,
renouvellement partiel et exhaussement
1871, succession, les enfants,
1871, succession, les enfants,
1872, donation, Latteur Pierre et consorts,
négociants, à Binche, Leroy Amélie veuve (usufruitière, décès en 1874)
1874,
converti en maisons A.178c, d,e ,f ,g ,h.
Chemin de Namur
AUBERGE PIERRE LATTEUR
Auberge située rue de Namur face au chemin du Cœur
Dolant, maison cadastrée A.183 tenue par Pierre
Latteur, aubergiste cité en 1838 et 1841, il a alors 38 ans.
Auberges
et hôtels non localisés
CHIEN (Hôtel du..)
CROISSANT (Hôtel du-)
1427 : « Jehan
Willemotte, bouchier et pour se maison qui fu Wille. Amoury condist
l’hostel au Croissant… »[242].
TOUR (hôtel
de la --)
* Novembre 1395 : «…le
maison… condist l’ostel à le tour… » [243].
HÔTEL LETELLIER
* Hôtel Letellier
E. 1867/68 (également aubergiste)
auberge
André Maréchal
A André
Maréchal, aubergiste 18 L . 7 s. pour logement de troupes passagères le
18-7-1781. [244]
[2] Cette liste
est établie par rue (dénomination actuelle) et par enseigne, elle est non
exhaustive.
[3] A.E.M.
Gr. Sc. Transcription du baron Moreau. Disparu.
[4] A.V.B.
11-00-01-1/3. Comptes des Pauvres.
[5] A.V.B.
11-00-01-5 – Comptes des Pauvres.
[6] A.V.B.
11-00-01-8 – Comptes des Pauvres.
[7] A.V.B.
11-00-01-60/61. Compte des Pauvres.
[8] A.V.B.
01-00-02-17/8844.
[12] Lefèbvre
Désiré, ° Merbes-le-Château 26-5-1839, † Haine-Saint-Paul 16-7-1905, x Horgnies Clémence.
[13] Stubbe Constant, °
Thurnout 1-6-1870, † Binche 26-8-1903, x Hussignies 25-1-1897, x Compas Maria, y ° 31-1-1871.
[14] Martin
Fernand, ° Mons 20-10-1868,†Binche 7-10-1910, x Binche 29-10-1898 Jeanne Blairon, ° Binche 8-11-1877,y † 24-11-1942.
[16] Sira Georges, ° Binche 24-11-1881, y † 27-2-1968 x 1°- Binche
30-4-1901, Marie Silence, †Binche
9-11-1935; x 2°- Binche 9-11-1935, Empain
Maria, ° Binche 28-6-1883, y † 28-3-1959
[18] Blondiaux Alexandre, ° Binche 11-1-1887, y x
23-5-1908, Pitot Félicie, °
Binche 18-8-1881, y† 13-3-1937
[19] Blondiaux Alfred, °
Binche 15-2-1879, y † 12-6-1934, x 1° Milcamps Adolphine, ° Binche 7-7-1876, y † 23-2-1914 ; 2°- Binche
4-6-1927, Flan Berthe, ° Tilquer
(Fr.) 1-2-1890, partie habiter Ressaix en novembre 1935.
[20] La rue du Cygne s’appela
auparavant, rue Baudet, rue Descrollières, rue du porcelet
[21] L’enseigne en pierre de
cet hôtel avait été recueilli par le musée communal. On y a volé et détruit
quelques pièces d’intérêt archéologique dont l’enseigne du Cygne.
[22] Compte
de Colard Dango, f° 29. Cartulaire t.61, 1896.
[23] A.G.R.
C.C. 45.430.
[24] S.G. A.E.M., Gr. Sc.
[25] GRAUX A., Binche des métiers et
des hommes. Les brasseries binchoises,
dans Les Cahiers Binchois, n° 16, 1998, p.53.
[26] A.V.B.
11-00-02-7/10 – Comptes des Orphelins.
[27] A.V.B. 11-00-01-54.
Compte des Pauvres.
[28] A.V.B.
00-08-01-7. Comptes de l’église.
[29] A.V.B. 11-00-01-60/61.
Compte des Pauvres
[30] De la Forge
Nicolas-François, lieutenant-prévôt de Binche, † Binche 30-4-1718, x Binche
11-3-1669, Leducq Isabelle-Thérèse.
[31] A.E.M.
A-E. 5409. Cartulaire de Bonne-Espérance.
[32] L’avenue Charles Deliège eut
plusieurs dénominations : Haute chaussée, grand-rue, Avenue Albert Ier.
[33] A.E.M.
A-E. 5409. Extrait du cartulaire de Bonne-Espérance.
[34] S.G. A.E.M., Gr. Sc.
[35] A.G.R.
C.C. 45.430.
[36] A.G.R.
C.C. 45.430.
[37] S.G. A.E.M., registre des rentes du chapitre de
St-Ursmer, f°14.
[38] A.V.B.
11-00-01-3/5/8. – Comptes des Pauvres.
[39] S.G. A.E.M., Gr. Sc.
[40] A.G.R.
C.C. 45.430.
[41] S.G. A.E.M., registre des rentes du chapitre.
[42] A.V.B.
11-00-01-1/5/8. Comptes des Pauvres.
[43] A.V.B.
11-00-01-54. Compte des Pauvres.
[44] A.V.B. 11-00-01-54 et suivants.
Compte des Pauvres.
[45] A.V.B.
11-00-01-60/61. Compte des Pauvres.
[46] A.V.B.
11-00-01-98 – Comptes des Pauvres.
[47] Deliège Paulin, ° Binche
11-6-1853, y † 11-2-1933, x Binche
22-10-1897, Boudart Ida, °
Binche 2-4-1851,y † 27-1-1936.
[48] ROLAND E. Les incendies de Binche
(1363-1412), dans A.C.A.M. t 61 (2), 1945, p.p.224-225.
[49] A.G.R.
C.C. 45.430.
[50] A.E.M.
Transcription du baron Moreau. Embrefs reg. 4, f° 138v°. Disparu.
[51] A.V.B.
11-00-01-54. Compte des Pauvres.
[52] Narez Hyppolite, x Binche
27-7-1633, Posteau Anne
[53] A.V.B.
11-00-01-54. Compte des Pauvres.
[55] Octave-Henri
Drisse, ° Ogy 11-2-1856, x Leurquin Marie-Joseph, ° Chimay 20-5-1838.
[56] Drisse
Henri-Ferdinand-Joseph, x Binche 21-1-1845, Fayt Mélanie Léopoldine
[57] A.V.B. 01-00-01-16.
[58] A.V.B. 01-00-01-19.
[59] Drisse Ernest-Alexandre, ° Binche
15-9-1866, célibataire.
[60] Boreghem Pierre, °
Anvaing 13-8-1842, † Binche 31-8-1908, y x 30-9-1879, Lebrun Marie, °
Battignies 2-2-1845.
[61] A.V.B. Service d’urbanisme.
[62] Massart Armand, °
Schaltin 4-9-1876, x Sprimont 23-6-1902, Vincken Marie, ° Leuth 12-11-1872.
[63] A ce sujet : GRAUX
A. Un loisir des Binchois : le cinéma, dans bulletin SAAMB, n°7,
mars 1999, p.5.
[64] Weber Jean-Nicolas, °
Foulen 15-6-1871, x Molenbeek-Saint-Jean 29-10-1898, Loréa Thérèse, ° Bruxelles 26-9-1873.
[65] Hubert Charles Louis, °
Marchin 9-6-1903, x Saint-Denis 25-10-1930, Hubert Bertha, ° Loyers 14-4-1911.
[66] Maiglet
Madeleine-Thérèse-Aimée-Marie, ° Binche 6-6-1887, x Binche 3-7-1909, Legrand
Achille-François-Victor, ° Binche 16-4-1883,y
†30-4-1933.
[67] Babusiaux Paul-Jules, °
Waudrez 16-4-1895, x Terneuzen 6-5-1920, Fermont Maria-Malthilda, ° Terneuzen
2-5-1895.
[68] DEVILLERS
L., Document sur les conquêtes de Don
Juan, dans A.C.A.M. t .10 , p.353.
[69] A.V.B.
00-00-02-44.
[70] Tahon Gilles, massard de la ville
de 1627 à 1632 au moins, homme de fief de Hainaut, x Marie Le Ricq.
[71] A.V.B.
11-00-01-54. Compte des Pauvres.
[72] A.V.B.
11-00-01-60. Compte des Pauvres.
[73] A.V.B.
00-08-01-7. Comptes de l’église.
[74] A.V.B.
00-08-01-7. Comptes de l’église – Fabrique.
[75] A.V.B.
11-00-01-65/71. Compte des Pauvres.
[76] A.E.M. Notariat, 15.
[78] A.E.M.
A-E. 5409. Extrait du cartulaire de
Bonne-Espérance.
[79] A.V.B.
11-00-01-98/105 – Comptes des Pauvres.
[80] A.V.B.
11-00-01-120/125/128 * Comptes des Pauvres.
[82] A.V.B.
11-00-01-1/3/8. Comptes des Pauvres.
[83] A.V.B.
Compte massarderie.
[84] A.V.B.
11-00-01-5 – Comptes des Pauvres. L’hôtel du mouton touchait donc le couvent
des Récollets.
[85] A.V.B.
11-00-02-5/7/10 – Comptes des Orphelins.
[86] A.V.B.
11-00-01-54. Compte des Pauvres
[87] A.V.B.
11-00-01-54/65. Compte des Pauvres
[90] A.V.B.
00-08-01-135 – Confrérie des Membres pieux.
[91] A.V.B.
00-00-01-30.
[92] Graux Alfred-Joseph, °
Binche 24-2-1845, y † 24-7-1901, x 1° Binche 23-5-1870, Delattre Marie, °
Binche 10-2-1851, y † 5-8-1894, dentellière, cordonnière. X 2°- Binche
3-12-1894, Goffaux Marie-Eléonore, ° Binche 28-4-1863, y † 3-10-1924,
commercante.
[94] Godefroid
Oscar-Léopold-Ghislain, ° Charleroi 14-3-1916, x Binche 18-12-1937, Buisseret
Gustavine-Fernande, ° Binche 14-6-1915.
[95] T’Avau Binche n°
108, 26-2-1949.
[96] S.G. A.E.M., Gr . Sc.
[97] A.G.R.
C.C. 45.430.
[98] A.G.R.-
C.C. 8851 à 8860.
[99] A.G.R.-
C.C.8966 à 8869.
[100] A.G.R.-
C.C.8881 à 8883.
[101] A.G.R.-
C.C.8884 à 8885.
[102] A.V.B.
11-00-01-1. Comptes des Pauvres.
[103] A.E.M.
Transcription du baron Moreau. Embrefs reg. 4, f° 138v°. Disparu.
[104] A.G.R.-
C.C.8902.
[105] A.G.R.-
C.C.8904.
[106] A.G.R.-
C.C.8914.
[107] Maison
Glotz
[108] A.G.R.
C.C. 45.430.
[109] A.V.B. 11-00-01-1.
Comptes des Pauvres.
[110] A.E.M.
Gr. Sc. Transcription du baron Moreau. Disparu
[111] A.V.B.
11-00-01-3/5/8. – Comptes des Pauvres.
[112] A.V.B.
11-00-01-54. Compte des Pauvres.
[113] A.V.B.
11-00-01-60. Compte des Pauvres.
[114] A.V.B.
11-00-01-61. Compte des Pauvres.
[115] A.V.B.
00-02-02-7. Etat des maisons vuides de la
ville de Binch.
[116] M. de Berleps fut gouverneur de
Binche par lettres-patentes du 16-4-1696, il était commandeur de l’ordre
d’Alcantara.
[117] A.V.B.
00-00-01-25.
[118] A.V.B.
11-00-01-65. Compte des Pauvres.
[119] Thomas
Michel dit la Rose, † Binche 15-2-1739 à 72a, x Binche 8-6-1713, Delcourt
Marie-Amalberge, † Binche 14-7-1758, à 65a.
[120] A.V.B.
11-00-01-71. Compte des Pauvres.
[121] Sur Michel
Thomas, voir note 126.
[122] A.V.B.
00-02-02-3 Cahier des cheminées de la ville de Binche.
[123] A.V.B.
11-00-01-98 – Comptes des Pauvres
[124] Sartiau Pierre Joseph, x
Binche 7-5-1743, Claus Marie-Philippine.
[125] A.V.B.
11-00-01-105 – Comptes des Pauvres.
[126] Cottin Jean-Baptiste,
† Binche 29-6-1757 à 52 ans, x Binche 26-9-1741, Michel Marie-Lambertine, °
Binche 18-9-1709, y † 30-12-1753.
[127] A.V.B.
11-00-01-117/120/125. Comptes des Pauvres.
[128] Sainte-Marie Philippe, †
Binche 6-7-1785 à 66a, x Binche 17-4-1749, Philippon Marie-Caroline, † Binche
2-8-1796 à 66a.
[129] A.V.B.
11-00-01-129 et suivants - Comptes des Pauvres.
[130] A.V.B. 00-00-01-34
[131] A.V.B. 00-01-00-195 – Massarderie.
[132] A.V.B. 00-01-00-204 – Massarderie.
[133] A.V.B. 00-01-00-213 – Massarderie.
[134] Sainte-Marie
François-Ursmer-Bauduin-Jh., ° Binche 30-10-1754,
y † 12-12-1814 x Binche 20-11-1781, Gallez Marie-Angelique, ° Binche 12-11-1777,
y † 22-6-1790.
[135] A.V.B.
2723. Recensement an IV.
[136] Sainte-Marie
Norbert-François-Philippe ° Binche 24-10-1787, y † 5-3-1863, x Binche
26-11-1817, Lamblot Marie-Thérèse-Maximilienne-Françoise, ° Binche 4-3-1794, †Binche av.1863.
[137] GRAUX A. Une activité économique de
Battignies : le chaufournage, dans bulletin SAAMB n°6 février 2000,
p.10.
[138] [E.P.] Au Roi
d’Espagne, dans Regain n°21 - août 1998, p.9.
[139] Journal Le Centre, année 1862
[140] Journal Le Centre, 30-3-1862
[143] Lekime
Philibert, ° Ronquières 12-8-1823, x Delcourt Pétronille, ° Forchies 21-3-1820.
[144] A.E.M. Enregistrement des
domaines. A.C.P. 161.
[145] A.V.B. 01-00-02-16./8044.
[146] A.E.M.
Transcription du baron Moreau. Embrefs reg. 3, f° 134 v°. Disparu.
[147] A.V.B.
11-00-01-1. Comptes des Pauvres.
[148] Sa veuve en 1586.
[149] A.V.B.
11-00-01-3/5/8. – Comptes des Pauvres.
[150] Lebeau Pierre, ° Binche
29-6-1860, y † 24-7-1911, x 22-9-1886 Marié Joséphine-Elise, ° Binche 29-9-1862, y †26-8-1938.
[151] Gaillard Louis, ° Binche
17-3-1854.
[152] Vander Elst Victor, °
Courcelles 11-4-1885, x 1°- Bouillon Alice, divorcé; x 2°-Bruxelles 24-4-1923,
Rygole Marie-Louise, ° Rumbeke 21-8-1881.
[154] Willain Arthur, ° Forges 4-7-1872, y x
19-9-1899, Dartevelle Maria, ° Forges 5-10-1878.
[155]
Humbled Paul, ° Saint-Vaast 16-6-1877, x Carnières 11-12-1912, Malfroid Elise,
y ° 30-9-1890. ces époux partirent habiter Jumet en avril 1957.
[156] A.V.B. 2953.
[158] Pourtois Albert, °
Haine-Saint-Pierre 2-12-1868, x Houdeng-Goegnies 8-2-1896, Préau Louise, ° Fayt
28-8-1870.
[159] Weber Jean-Nicolas, °
Fouleng 15-6-1871, x Molenbeek-Saint-Jean 29-10-1898, Loréa Thérèse, °
Bruxelles 26-9-1873.
[160] Jacob Théophile, ° Ougrée
15-5-1859, x Liège 18-10-1913, Royard Marie-Blanche, ° Ciney 4-12-1872, †
Binche 23-4-1926.
[161] Devos Gaston, °
Vellereille-les-Brayeux 24-6-1893, x Chapelle-à-Oye 27-10-1920, Damien Louise,
y ° 23-5-1893.
[162] Leclercq Maurice, °
Ixelles 21-11-1889, † Binche 13-7-1942, x Liège 21-1-1934, Marie Noël, ° Spa
11-11-1888.
[163] Petite annonce du journal
le Centre, à la date.
[164] Van
Craenenbroecks Jean-François, ° Forest 6-4-1905, x Bruxelles 7-4-1928, Drossart
Antoinette, y ° 8-10-1907.
[165] Couvreur Alexandre, ° Binche 17-10-1853, y †
16-4-1916,x 1°- Pottier Pulchérie, † 8-9-1891, x 2°-
Binche 8-9-1891, Denamur Adolphine,
° Haine-Saint-Pierre 13-6-1861, † Binche 11-9-1918.
[166] Termolle Alfred-Léon, °
Binche 4-12-1864 x Delmer Marie-Elise, ° Jeumont (Fr.) 16-8-1867
[167] Binche réclame, 8-5-1892.
[168] Deliège Bertha-Jeanne, °
Binche 26-11-1885, x Binche 18-9-1906, Termolle Edgard-Charles-Georges, °
Binche 26-11-1885, y † 25-10-1961.
[169] A.V.B. 2953.
[170] Basse
Georges-Frédéric-Charles, ° Ledeberg 16-11-1867, négociant en vins, x La Louvière 7-3-1908, Flesch
Elise, ° Maransart 30-3-1870.
[171] Voir rubrique Terminus.
[172] Magin Alex, ° Redu 4-10-1856, voyageur de commerce et
hôtelier, x Bruxelles 27-6-1897, Delinge Fanie-Désirée, ° Namur 29-12-1854.
[174] Roosens Alexis, ° Oquier
26-12-1862, x Ciney 19-5-1894, Carlier Marie, °Yvoir 25-2-1864.
[175] Everbecq Léon-Paulin, °
Binche 14-10-1826, y † 1-10-1956, peintre en bâtiment et cabaretier, x Binche
22-1-1890, Cordier Irma, °
Binche 25-7-1867, y † 7-2-1950.
[176] Massart Armand, °
Schaltin 4-9-1876, x Sprimont 23-6-1902, Vincken Marie, ° Leuth 12-11-1872.
[177] Schmit Paul, ° La Louvière 2-3-1880, † Binche 3-1-1931, x
Quiévrechain 11-7-1908, Desguin Aurélia, ° Jumet 12-12-1883.
[179] Motquin
Charles, ° Epinois 30-8-1775, † Battignies 11-4-1848, x Waudrez 7 frimaire an XI (28-11-1802) Meunier Valentine,
° Waudrez 28-3-1780, † Battignies 14-1-1826.
[180] Degrève
Ursmer, ° Binche 18-10-1810, x Latteur Louise-Victoire, ° Péronnes-lez-Binche
28-1-1797
[181] A.G.R. C.C. 45.430.
[182] A.G.R.
C.C. 45.430.
[183] S.G. A.E.M., registre des rentes du chapitre.
[184] Jehan Bodart en 1573.
[185] A.V.B.
11-00-01-1/3/5/8. Comptes des Pauvres.
[187] A.V.B.
11-00-02-7 /10– Comptes des Orphelins.
[188] A.V.B.
11-00-01-65. Compte des Pauvres.
[189] Lebeau Paul-Henry, ° Binche
29-6-1858, x 1°- Binche 1-6-1880, Hupin Marie-Joséphine° Binche 17-9-1856,
y † 7-4-1888., 2°-
Binche 23-10-1888, Termolle
Aveline-Anne, ° Binche
18-10-1854, y † 20-4-1940, rentière.
X 3°- 10-9-1913, Carlier Mathilde-Cornélie
[190] Haubruge
Auguste, ° Dampremy 24-11-1870, † Binche 18-1-1932, x Charleroi 27-5-1896 Hanquinet
Amélie, ° Dampremy 11-6-1874, † Binche 21-5-1959.
[191] A.E.M. Enregistrement A.S.S.P.
6/54, à la date.
[192] Debrulle
Augustin, ° Waudrez 1766 env., x Binche 21-9-1791, Marie-Joseph Milcamps, ° Binche 30-5-1767.
[193] MILET A. Réactions binchoises lors des élections de
1797 à 1799 dans le département de Jemappes, in Cahiers binchois, n° 14, 1966, p.67.
[194] A.E.M.
Transcription du baron Moreau. Embrefs reg. 3, f° 92. Disparu.
[195] Procédure de
déshéritement coutumier du Hainaut, au profit de ses enfants.
[196] A.E.M.
Transcription du baron Moreau. Embrefs, reg. 4 , f° 47 v°. Disparu.
[197] A.E.M.
Gr. Sc. Transcription du baron Moreau. Disparu
[198]A.E.M. Transcription du
baron Moreau. Registre 2 des criées. Disparu.
[199] Bosquet Antoine, † Binche
7-12-1714, x Binche 14-1-1685, Ghobart Catherine, † Binche 31-12-1704
[200] A.E.M.
Notariat, 13.
[201] Cordier Séverin, ° La Buissière 1766, † Binche 15-7-1832,
x Binche 30 vendémiaire an III (21-10-1794),
Deneufbourg Ursmarine, † Binche
21-1-1853 à 81 ans.
[202] A.V.B. 01-00-04-108.
[204] A.V.B.
00-00-01-28. La rue de la Callerie (Caillerie) est la rue de Mons actuelle
[206] S.G. A.E.M., Gr . Sc.
[207] S.G. A.E.M., Gr . Sc.
[208] Milcamps Charles-Joseph ° Binche 6-11-1740,
y † 13-5-1820 x Binche 26-2-1767,
Dessart Marie-Rose, ° Binche
23-11-1743, y † 24-5-1813.
[209] A.V.B.
00-01-00-197-Massarderie 1779
[210] A.V.B.
00-01-00-199-Massarderie 1781
[211] A.V.B.
00-01-00-201-202/Massarderie 1783-1784.
[212] A.V.B.
00-01-00-213-Massarderie 1791
[213] A.V.B. 00-00-01-40, registre d’audiences, p.163.
[214] Voir rubrique Lion d’Or.
[215] Babusiaux Pierre-Joseph, ° Binche
10-5-1795, y † 13-11-1853, x Blondiau Eugénie, °
Villers-Saint-Ghislain 14-4-1797, † Binche 16-7-1859.
[217] Babusiaux Edmond-Rodolphe, ° Binche 29-9-1834, x Binche
2-8-1860, Brichot Pauline-Elisa, ° Binche 30-9-1841, y † 23-2-1881.
[220] Daumerie
Louis-Joseph, ° Binche 27-4-1827, y † 1-11-1908, x Binche 21-8-1876, Jongen
Marie-Eusébie-Virginie, ° Fouron-le-Comte 7-4-1849.
[221] Cordier
Gustave, ° Binche 3-3-1883, y † 2-11-1926, x 2°-La Louvière 23-2-1918, Brouille Jeanne, ° Salaumine 20-3-1887
[222] A.G.R.-
C.C. 8937.
[223] A.V.B.
11-00-01-65. Compte des Pauvres.
[224] A.E.M.
Notariat, 14.
[225] A.V.B., 11-00-02-78
- Comptes des Orphelins.
[226] Maiglet Aimé dit Bibi, ° Escaupont (Fr./059)) 4-6-1846, † Binche 21-4-1894, x Binche 12-9-1877, Girard Prudente, ° Saint-Vaast
26-4-1855. Cette dernière partit habiter
Haine Saint-Pierre en 1907.
[227] La constitution,
14-8-1892.
[228] Gustave Maiglet, °
Marchiennes-au-Pont 26-8-1852, † Binche 21-3-1908, y x 6-8-1883 Empain
Marie-Julie, ° Binche 18-6-1884, y † 22-2-1948.
[229] Georges Maiglet , °
Binche 9-4-1878, x Jumet 1-7-1901, Charles Marthe, y ° 3-4-1876. Ils quittèrent
Binche pour Jumet en septembre 1916.
[231] Sebille Marie-Thérèse, ° Binche 24-1-1802, † Waudrez
27-4-1888, lingère, x Binche
6-4-1830, Bury Basile, ° Binche 28-4-1802, y † 7-4-1847, aubergiste.
[232] Damade Julien-Joseph, °
Marchiennes-au-Pont 2-1-1800, †
Battignies 30-11-1858, x 1°- Waudrez 5-11-1828, Everbecq Marie-Thérèse ; x
2°- Waudrez 25-4-1838, Everbecq Caroline-Angélique, ° Waudrez 6-10-1816,
† Battignies 9-12-1852.
[233] Damade
Léonie-Joséphine-Augustine, ° Battignies 12-7-1844, x Buvrinnes 15-7-1863,
Rochez Emile, ° Buvrinnes 17-1-1838.
[234] Rochez Léon-Emile °
Battignies 20-8-1868, † Binche 3-4-1948,
x Bruges 4-7-1894, Bever Georgine, y ° 6-4-1874, † Binche 13-2-1962.
[235] Bull.
Information de la ville de Binche, n° 45, sept. 1980.
[237] La Constitution , , n° 4, 8e année, 25-1-1885.
[239] Binche réclame, 8-5-1892.
[240] A.V.B.
Service de l’urbanisme.
[241] S.G. A.E.M., Gr . Sc.
[242] A.G.R. C.C. 45.430
[243] S.G.
A.E.M., Gr . Sc.
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