DE LA Rue de la Callerie A LA RUE DE MONS
Alain GRAUX
LA RUE DE LA CARLERIE
Le 6-6-1551 devant les Jurés : Gilbart, Tenre, Lescaillier et Trahegnies, Jean Tayenne, bourgeois de Binche a vendu à Ursmer Tayenne son fils demeurant en Angleterre 103 s. de rente sur la maison appartenant à Pierre Candamaine en la Carlerie..il se déshérite au profit de Catherine Tayenne veuve de feu Bauduin le Cocq[1]
Le 6-6-1551 devant les Jurés : Gilbart, Tenre, Lescaillier et Trahegnies, Jean Tayenne, bourgeois de Binche a vendu à Ursmer Tayenne son fils demeurant en Angleterre 103 s. de rente sur la maison appartenant à Pierre Candamaine en la Carlerie..il se déshérite au profit de Catherine Tayenne veuve de feu Bauduin le Cocq[1]
Le 24-11-1552, devant les Jurés :
St-Venant, Trahegnies, Prevost, Lescallier, Jehan Troye, sayeteur demeurant à
Binche se déshérite de la maison qu’il possède rue
de la Carlerie et de la portion de la maison qui fut à feu
son père sur la Haulte
Cauchie , pour qu’après son trépas et celui de sa femme, ces
biens parviennent à Quintine Troye, sa fille, pour elle et ses hoirs[2].
Le 11-2-1554, devant les Jurés Ursmer
Lescallier, Quintin du Trilz, Jean Loys et Antoine Ansseau, Barbe Bosquet veuve
Jehan de Bohan, épouse de Pierre Moreau, s’est fait morte au profit de Bertrand
de Bohan son seul fils, demeuré de son feu mari, lui accordant un cellier
gisant en la rue de la Carlerie , tenant aux hoirs Jacques le Naing .
Ce fait, ledit Bohan âgé de 18 ans, a baillé
ledit cellier à Gilles Cornet, tisseur de toiles pour 4 L . 10 s. de rente annuelle.
Gilles Cornet a vendu à Pierre Moreau, mari
de Barbe Bosquet 50 s. de rente qu’il a …..au profit de la dite Barbe pour
qu’elle puisse en jouir sa vie durant et après
elle aller à Bertrand et Jehanne de Bohan sa sœur[3]
Le 10-1-1554, La masure qu’on dist le Cailloux en la rue de la
Carlerie ,
tenant à la masure Antoine Gilbart et aux hoirs Jehan de Verdren, demeurée à
nouvelle rente à Philippe Tayenne, fils feu Jehan, au prix de 8 L . 12 d. par an
La répartition des rentes dues sur ce bien est fait par les jurés de
Binche le 4-1-1556.
Parmi les rentiers
-
Marguerite
Naret veuve Godefroy Priche par achat fait par son feu mari, à Pierart Choupart
le 28 février, elle demande 21 s. 1d.
-
Philippe
Tayenne acquéreur au nom de Ursmer Tayenne son frère, en vertu d’achat fait à
Baudouin Dodine en date du 5-1-1552, il demande 4 L . 13 s. 4 d.[4]
Le 11-11-1555, Philippe Tayenne fils Jean
vend à Pierre Candamaine, marchand de laine à Binche, une masure qui fut Pierre
Coyenne, gisant rue de la Carlerie[5].
Le 20-6-1560, devant les Jurés, Me Godefroid de Trahegnies, Pierre le Voet,
Philippe Fiefvet et Jehan Houssart « Gilles
Corne tisserant de toile demeurant aux Rocquettes , faubourg de Binche, a vendu
à Marie Bosquet, dernièrement veuve de Pierre Moreau , qui de premier fut
épouse à Jehan de Bohan, demeurant à
Binche, deux maisons , grande et petite, gisant à front de la rue de la Carlerie à Binche, joignant l’une à l’autre, tenant
aux hoirs Jehan Troye, aussi à l’héritage Richard Maben et par derrière à
l’héritage des Trois Rois, pour en jouir sa vie durant et après elle aller à
Bertrand de Bohan le fils qu’ elle eut dudit feu Jean de Bohan son premier
mari.
La dite grande maison est
chargée de 100s. de rente, et la petite maison devra aller à Collart et
Quentine Moreau ses fils et fille demeurés de son mariage avec feu Pierre Moreau, à charge de payer 10 s. de rentes » [6].
Le 19-3-1565, « Jaspar Ghiz, escrignier demeurant à Binche, a vendu à Mahieu Lobet fils
de feu Jehan, suffisamment âgé, l’héritage d’une maison, étable, gisant à front de la rue de la Carlerie , tenant à Martin Bruyère et à Jehan
Leclercq, à la rue et aux hoirs Collart Merdop , pour le prix de 60 L . à payer présentement et
en 3 fois 20 L .
à terme…pour que l’acheteur en fasse sa volonté et aller après son trépas à
Alyzon et Adryanne Lobbet ses deux sœurs , pour elles et leurs hoirs..
Françoise
Robert du gré de Pierre le Voet son mari, émancipe Mahieu Lobbet le fils
qu’elle eu de feu Jehan Lobbet qui fut son premier mari, afin qu’il puisse
négocier » [7].
Le 25-6-1566, Simon Thomas, marchand
demeurant à Mons, a vendu à Nicolas Moreau, greffier, 4 L . de rente qu’il a sur sa
maison gisant en la rue de la Carlerie , tenant à Estienne Henry et à Christophe
Blommart[8]
Le 22-6-1568 devant les Jurés Moreau, du
Trieu et Sebille. « Barbe Arthoix
veuve Anthoine Cornet s’est fait morte au profit de Marie Cornet sa fille,
épouse de Philippe de Jeumont et lui cède l’héritage d’une maison, brasserie et
hôtel gisant à front de la rue de la
Carlerie ,
tenant à l’héritage du Cornet, appartenant à ladite veuve.
Ce
Fait Philippe de Jeumont comme mari de Marie Cornet et de son gré et se faisant
fort du consentement de Jean Cornet son beau-frère a baillé à rente cette
maison brasserie et hôtel à Franchois le Cocq, cambier demorant à Binche » [9].
Le 7-11-1569, devant les Jurés : du
Bois, Jocquet, et Pitpan, Marie Bosquet veuve dernièrement de Pierre Moreau
reconnaît avoir donné irrévocablement à Bertrand de Bohan, son fils demeuré de
Jehan de Bohan, son premier mari, une des deux masures (la petite), gisant en la rue de la Carlerie.
suit un acte (f° 60), où il est dit :
Que la dite Marie Bosquet déclare que la
grande masure appartiendra également après son décès à Collart et Quintine
Moreau ses enfants demeurés de son mariage avec feu Pierre Moreau qui fut son
dernier mari[10].
Le 5-8-1571, devant les Jurés : Moreau,
et Diepenbeck, Sainctine Noël veuve de Jehan Libert s’est fait morte au profit
de Pierre Libert son seul fils, lui donnant une maison qu’elle a gisant en la rue de la
Carlerie à
Binche.
Ceci fait, il
a vendu 10 s. de rentes rachetable au denier 18, sur cette maison, à
Jehan Creqme, son beau-frère[11]
Le 22-11-1571, devant les Jurés :
Nicolas Moreau, Charles du Trilz, Collart Gilbart et Me Jaspar Diepenbecque
« On fait savoir que M. les jurés et conseillers de la ville de Binche,
ayant en garde et administration les biens et héritages appartenant à Anthoine
Monseur, seul fils que Marie de Hoves a eu de son feu mari Jehan Monseur,
accompagnée de Remy Naret mari de Amalberghe Danys, son oncle du côté paternel
et de Collart de Hoves son grand-père du côté maternel, et du consentement de
ceux-ci, pour le plus grand profit d’ Anthoine Monseur, ont mis à rente…la
maison jardin, édifices appartenant à
Anthoine Monseur, gisant en la rue de la Carlerie , tenant à Jehan Compaing et à Jehan Durant »[12]
Le 10-7-1570 « La masure lieu et tenure qui fut à Simon Thomas gisant en la rue de la Carlerie , tenant à Christophe Blommart et à Jehan
Creiquemart, demeurée à nouvelle rente le 20-7-1570 au prix de 11 L . 3 s. par an »
La répartition des rentes grevant ce bâtiment
se fit en janvier 1573
Parmi les rentiers :
-
Les
hoirs Franchois de Gorges demeurant à Mons
-
Pierre
le Voet fils feu Estienne
-
Le
restant appartiendra à Nicolas Moreau qui veut avoir 4 L par an mais qui ne font
que 71 s. 9 d.[13]
Le 15-6-1573, devant les Jurés : Deppe,
Houssart et Ghobert.
Au cas où il n’aurait pas d’enfants
légitimes, Gilles Escouillefort, époux d’Adrienne Lobbet, prend des
dispositions relatives à ses deux maisons sises à Binche, l’une à l’enseigne du
Pot d’Etain faisant coin à la rue de la Carlerie , l’autre à la
Haulte Cauchie à l’enseigne de l’Etoile [14].
Le 6-7-1579 « On fait savoir que
Philippe le Clercq, Bauduin Tayenne, Antoine et Gabriel Sebille frères, Leurent
de Behault mari de Anne Sebille, Gilles Escouillefort époux de Marie de
Gricourt, se faisant fort de Clarisse de Gricourt à marier, tous demeurant à
Binche, ont mis à rente une maison, chambre, édifices, portant l’enseigne du
Cornet gisant à front de la rue de la Carlerie , tenant à l’héritage du Lion d’Or
appartenant à François Le Cocq, d’autre part au dit Philippe le Leclercq et par
derrière à l’héritage du Cherf, en laquelle maison ledit Leclercq doit avoir la
juste moitié par achat, et aussi Bauduin
Tayenne aussi par achat de 4/9e en l’autre moitié, les dits Anthoine
et Gabriel Sebille leur appartenant de par leur patrimoine, chacun pour 1/9e,
Leurent de Behault en action de sa femme aussi 1/9e en la dite
moitié et le dit Gilles Escouillefort à titre de sa dite femme et de Clarisse
de Gricourt chacune pour 1/9e
en cette moitié.. »[15].
Le 15-10-1579 « La maison et héritaige
qui fut aux hoirs Jehan Fiefvet gisant en la rue
de la Carlerie , tenant à Nicolas Moreau et à la veuve
Vinchent Naret et demeurée à rente en vertu d’un octroi le 15-10-1579, au dit
Nicolas Moreau au prix de 13 L .
2 s. bl. par an »[16].
En septembre 1594, Quentine Moreau fille
Nicolas Moreau âgée de 23 ans, a baillé à rente à Simon Deppe demeurant à
Binche, une maison, cave, jardin et tenure gisant en la rue de la
Carlerie ,
tenant à Jehan Kenoy, à Gilles Gillet et par derrière à l’issue des Trois Rois,
au prix de 60 L .
t.
Le même jour Nicolas Moreau et François,
Quentine Moreau enfants du dit Nicolas ont promis chacun de garantir cet
arrentement au dit Deppe[18].
Le 7-1-1595, devant les Jurés :
Jaspar Dipenbecq et Charles Ansseau, « Jean Joly sergent de
l’office du bailliage a fait devoir de mettre en arrêt la maison de Nicolas
Moreau ci-après déclarée, à la traite de Simon Deppe, bourgeois de Binche.
Contraint, le dit Moreau a fait deshéritance de sa maison gisant en la
Carlerie ,
tenant à Jean Quenon et à Gilles Gilbert où demeure présentement Philippe de
Henrichamps, étant établi “ morte-garde »[19].
Le
22-10-1602 : Exécution de l’hypothèque consentie sur une maison
appartenant à Philippe Wasteau, sise à front de la rue de la Carlerie , tenant à Bertrand Barat et
à Nicolas Moreau[21].
Le 27-11-1602, devant les Jurés Candamaine,
le Merchier, Gilbart et Le Maire, Marc Malengret, berger demeurant à Trahegnies
d’une part, et François Deppe fils Simon au nom du dit Simon demeurant à Mons,
bourgeois, d’autre part, démontrent comment ledit Simon avait mis en arrentement
à Jean Malengret père de Marc, une maison à Binche en la
Carlerie ,
tenant à Jean Hecq et Bauduin le Cocq [22].
Le 10-6-1604, devant les Jurés :
Caudamaine, Cocq, Hulin, et le Merchier, Nicolas Moreau l’aîné, demeurant à
Mons, a donné en arrentement à Simon le Bon demeurant à la Croix , une maison gisant en la
Carlerie ,
tenant à la veuve Gilles Gillet , à la veuve R. de Faulx et à l’héritage du
Noir Aigle, à charge de 57 L
t. de rente, lui venant d’achat qu’il a
fait à Quintine Moreau sa fille.
Le 11-6-1604 le dit Le Bon rembourse les
deniers capitaux de 17 L
de rente sur la maison ci-dessus[23]
Le 18-4-1607, devant les Jurés Hulin, de le Vigne, Doige, et
Pouillon, Quintine Moreau , Jeune fille à marier, âgée de 28 ans, demeurant à
Mons, a vendu à François de Jars marchand à Binche, 40 s. de rente lui
appartenant sur la maison appartenant à Charles le Doulx en la
Carlerie et
tenant à la veuve Gilles Gillet, et ce en vertu d’un contrat passé avec Nicolas
Moreau son père[24].
Le 4-2-1606, devant les Jurés Tahon, de
le Motte, le Voet et Hulin, Jehan le Mielz, coutelier demeurant à Binche a
vendu à Nicolas de Zomberghe, bourgeois de Binche 10 L . 6 s. de rente à lever
sur sa maison gisant à front de la rue de la
Carlerie ,
tenant à Estienne Royart, à Servais Bruslet, pour que le dit acheteur en
jouisse lui et sa femme Catherine Tahon [25].
Le 16-11-1606, devant les Jurés :
Fiefvet, Tahon, Del Motte et le Voet, Antoine Rochet messager de l’abbaye de
Lobbes et y résidant, accompagné de Guillaume Rochet fils qui lui est demeuré
de Philipotte de le Motte, âgé de 23 ans, s’est fait mort au profit de dernier,
lui donnant 18 L .
17 s. de rente qu’il a sur une maison sur la Haulte Cauchie
appartenant à Thierry Compaing qui fut à François Henry, faisant coin à la rue de la Carlerie
Ce fait,
le dit Guillaume l’a vendue à Thierry Compaing [26]
Le 23-3-1708, Antoine Legaitte lègue à Jeanne-Marie Ghislain, « une
rente due par les héritiers Nicolas Dassy, sur leur maison et héritage tenant à
froncq la rue de la Carlerie , faisant coin à la rue du Marché aux bêtes,
tenant à Guillaume Falise »
[27].
1715 : 45 maisons sont citées:
Marie-Joseph Lesieur pour
sa maison où elle réside 2 ayres
Les hoirs Antoine
Sauvenière pour leur maison tenant à la grange Gaillemar 1 ayre
Laurent Adam pour sa maison
tenant à la grange Gaillemar 2
ayres
Les hoirs Antoine Massart
pour leur maison tenant à la précédente 2
ayres
La veuve Lenglez pour sa
maison joindante 2
ayres
Les hoirs Quintin Lebeau
pour leur maison joindante 1 ayre
Les hoirs du Rieux pour sa
maison tenant à la précédente 3 ayres
Laurent Mathé pour sa
maison tenant à la précédente 3 ayres
La veuve Lenglez pour sa maison
tenant à la précédente 1 ayre
Baudouin Hupin pour sa maison
tenant à la précédente 1 ayre
Jean Draguet pour sa maison
tenant à la précédente 2 ayres
Les hoirs Bauduin Gillot pour leur maison faisant coin 2 ayres
Charles Hayez pour sa maison
faisant coing à l’opposite 1 ayre
Antoine Laloyaux pour sa
maison tenant à la précédente 1 ayre
Louis-Michel Massart pour
sa maison tenant à la précédente 11/2 ayre
Les hoirs Gaspart Ghobart
pour leur maison 3
ayres
Pierre Rambour pour leur
maison dite le Lion d’Or 3 ayres
La veuve Gille Goffaux pour
sa maison 2 ayres
Melchior Dardoix pour sa maison
tenant à la précédente 1 ayre
Jean Dezombeau pour sa
maison où il réside tenant à la précédente 2 ayres
La veuve Jean Macquet pour
sa maison où résident les filles Gillot 1 ayre
Guillaume Falize pour sa maison
où il réside 2
ayres
Les hoirs Dassy pour leur
maison où ils résident et faisant coing 2 ayres
La veuve Jean Leghait pour
sa maison 1 ayre
Antoine Motte pour sa maison
où il réside
3 ayres
La veuve Lenglez pour sa maison
tenant à la précédente 1 ayre
La même pour sa maison
tenant à la précédente 1 ayre
Jean-Baptiste Carpentier
pour sa maison tenant à la précédente 1 ayre
Le même pour sa maison tenant à la précédente 1 ayre
La Delle veuve Constant
Franquet pour sa maison dite le Tripot 2 ayres
Les hoirs Dupond pour leur
maison 1 ayre
La veuve Double pour sa
maison de la Cabuterie 3 ayres
Nicolas-François de la
Forge pour sa maison dite le Petit Mariemont 2 ayres
Jean Carlier pour sa maison
où il réside 2 ayres
Jean Hannecart pour sa
maison venant de l’hôpital
1 ayre
Abel Cavenel pour sa maison 1 ayre
La veuve Double pour ses deux
maisons avec Jean Thomas 2
ayres
Paul Sauvenier pour sa maison
où il réside 1 ayre
Pierre-François Lengrand
pour sa maison 1 ayre
L’apoticaire Poucez pour sa
maison tenant à la précédente 1 ayre
Théodore Hirsoux pour sa
maison tenant à la précédente 1 ayre
Bauduin Ramboux pour sa
maison tenant à la précédente 1 ayre
Jean-Baptiste Cambier pour
sa maison dite le Caillaux 2 ayres
Les hoirs François Gravis pour
leur maison 1 ayre
Les mêmes pour leur maison
joindante 1 ayre
Le Recensement de l’an V (1795) cite :
- BOURSIN Antoine, 32 ans, assistant au juge de paix1794, 3 enfants de moins de douze ans.
- CONTESSE François, 47 ans, orfèvre, arrivé en 1780
LIXSON Félicité 56 ans, sa femme
CONTESSE Caroline 48 ans, sa sœur,
CONTESSE Marie Jos46 ans, ex
religieuse, venue en 1781
CONTESSE Marie Thérèse45 ex religieuse, venue
en 1781
- DELIEGE Adrien, 38 ans, journalier
GLOSTZ Geneviève, 41 ans, sa
femme
- DELMOTTE François, 39 ans, marchand
MINART Pélagie, 40 ans, sa
femme
- DELPLANQUE Jean Baptiste, 42 ans, cabaretier1795
STAQUEZ Pélagie, 33 ans, sa femme
DELPLANQUE François, 12 ans, leur fils et 2 enfants en bas âge
- DELRUE Louis, 40 ans, boulanger.
BURY Marie Philippe, 30 sa femme
- DEPREZ Philippe, 25 ans, boulanger
FRANCOIS Marie Joseph, 46 ans, sa femme (veuve VRAI)
VRAI Guillelmine, 17 ans, sa fille
VRAI Marie Joseph, 14 ans, sa fille
VRAI Nicolas, 16 ans, son fils
- de STASSART François, 55 ans, rentier, arrivé en 1786
de COLINS Lucie, 62 ans, sa femme
de STASSART Joseph, 25 ans, leur fils
DEVELDER Anne Marie, sa servante, 49
ans, arrivée en 1795
BOUDART Joseph, domestique, 22 ans
- GHILAIN Pierre, 32
ans, perruquier1782
BOUSSART Alexandrine, 37 ans, sa femme
BOUSSART Alexandrine, 13 ans, sa nièce
- JOURDAIN Thomas, 37 ans, peintre
marchand, arrivé en 1767
DELTENRE Marie Thérèse, 39 ans, sa femme
JOURDAIN Jean Baptiste, 14 ans, leur fils
CRAME Marie Joseph, 72 ans, sa mère, veuve.
- MILCAMPS Charles, 57
ans, aubergiste
DESSART Marie Rose, 52 ans, sa femme, arrivée
en 1779
MILCAMPS Caroline, 25 leur fille
MILCAMPS Charles, 16 ans, leur
fils
MILCAMPS Louis, 14 ans, leur fils
- GABRIEL Augustin, 82
ans, pensionnaire
- GRAVIS Ursmer, 44 ans, bufflier
MALENGREZ Françoise, 38 ans, sa
femme
GRAVIS Antoine, 13 ans, son
fils
- JAUPART Philippe, 46
ans, sculpteur
MASSART Ursmarine, 41 ans, sa
femme
- LAMBLOT Jean Baptiste, 24
ans, rentier
LECLERCQ Françoise, 20 ans, sa femme
- LECLERCQ Philippe 32 ans,
menuisier
LEBEAU Catherine, 29 ans, sa femme
LEBEAU Augustin 62 ans, père, veuf
- LEFRANCQ François, 30 ans, maçon
DEGREVE Marie Joseph, 23 ans, sa femme
- LEJUSTE Marie Claire, 16 ans, journalière
- MAHIEU Anne Joseph, 54
ans, marchande, veuve Massy
MASSY Célestine, 24 ans, sa fille
MASSY François, 21 ans, son fils
MASSY Joseph, 16 ans, son fils
- SPLENGARD Marie Thérèse, 62
ans, pensionnaire
- TERMOLLE Alexis, 38 ans, tourneur
TRIGALLEZ Marie Joseph, 39 ans, sa femme
- VANHERPE Joseph, 52 ans, journalier
La rue de Mons continuait alors par les
actuelles rue Lucien Roland et rue de Million. La rue des Bonnes Femmes était
la continuation en ligne droite de la rue de Mons, elle aboutissait en impasse
à la tour des remparts dite tour Paulet, il fallut attendre 1841 pour qu’on
établisse le redressement de la rue de Mons dans son état actuel.
1841, LE REDRESSEMENT DE LA
RUE DE MONS
Aux abords de Binche, du côté
occidental, à la route de Mons il y avait jadis un coude en pente rapide et un
engorgement fort dangereux pour le roulage. Le Conseil de régence y remédia en
partie, moyennant une dépense d’environ 700 florins, pendant l’année 1825 [28].
Au printemps 1839, suite à plusieurs accidents, des pétitions des
habitants de la ville eurent lieu en faveur de l’amélioration de l’entrée de la
ville sur la route de Mons.
Le 14-8-1839, une commission d’enquête tenue par les conseillers
communaux, se réunit à l’hôtel de ville,
deux projets sont présentés par l’inspecteur général des travaux
publics :
La démolition et l’élargissement
de la porte de Mons avec la suppression de toutes les pentes supérieures à 50 cm , ou l’ouverture d’une
nouvelle communication avec le centre de la cité à travers les propriétés de
MM. Deliège et Poivre.
La
commission est favorable à l’ouverture d’une nouvelle route par 7 voix pour,
MM. Courtois et Lengrand sont contre et MM. Lecocq et Goffaux s’abstiennent car
ils ont signé une des pétitions qui ont circulé en ville lorsqu’il s’est agit
de faire le redressement[29]
Le 1-1-1840, la députation permanente du Hainaut a transmis
au département des travaux publics le projet de redressement de la route de
Mons, aux abords de Binche.
Au Conseil communal, le bourgmestre Wanderpepen signale que le Collège
échevinal a écrit le 13-12-1839, à Louis Troye, membre de la Chambre des représentants
et à Mr le chevalier Vander Heyden de Hauzeur, sénateurs, en leur faisant
connaître que depuis très longtemps on réclamait le redressement de la route de
2e classe, n° 6, de Mons à Charleroi, aux abords et dans la traverse
de la ville de Binche, afin de remédier aux accidents des plus funestes qui se
succèdent et se reproduisent trop souvent. Que les pièces nécessaires ont été
renvoyées par la députation permanente
du Hainaut au ministre des travaux publics le 31-août dernier...prie ces
Messieurs d’user de tous les moyens en leur pouvoir afin d’engager le ministre
des travaux publics à mettre un terme à la lenteur qu’on paraît apporter dans la
conclusion de ce projet[30]
Le
8-2-1840, le chevalier Vander Heyden de Hauzeur écrit au Collège :
« …les ingénieurs des Ponts et Chaussées chargés de ce
travail…ont fait un rapport le plus favorable à cette demande, Mr le ministre
des travaux publics partage entièrement leur manière de voir à cet égard, mais
jusqu’à ce jour on a pensé qu’il était plus équitable de faire construire des
routes dans des contrées qui en étaient entièrement privées que de faire des
redressements dans celles qui étaient déjà favorisées…qu’en définitif, c’était
le manque de fonds qui ne permettrait point en ce moment d’affecter les 45.000
fr. nécessaires pour entreprendre ces travaux… »[31]
Le 9-1-1841, le Conseil communal, vu la lettre du gouverneur de la
province en date du 15-12-1840, portant qu’il a reçu du ministre une dépêche
expliquant que ce projet exige une somme de 55.000 fr. et que vu le manque de
ressources nécessaires, il voudrait que la Ville de Binche participe en partie dans la
dépense
Le 1-2-1841, le Conseil communal revoit sa position du 9 janvier, et
concède gratuitement en faveur de l’établissement du redressement, tous les
grès et matériaux qui proviendront de la démolition de la tour, portique et
murs de rempart où le redressement aurait lieu et les parties de terrain
communal non aliénés, qui seraient empris et permettant l’enlèvement le long du
rempart des terres, décombres, qui sont nécessaires au remblais [33]
Le 22-3-1841, par lettre datée, le représentant Louis Troye informe le
bourgmestre de Binche que le gouvernement
provincial, qui avait accordé un subside de 12.000 fr. en faveur du
redressement, a décidé de le porter au ¼ des dépenses totales [34]
Le 24-5-1842, l’arrêté royal du 24-5-1842, ordonna le redressement de la
rue de Mons par la tour Paulet [35]
Le cahier de charge du Ministère des travaux publics n° 124 publie la mise
en adjudication des travaux qui auront lieu en 1842.
Nous tirerons du cahier de charge les caractéristiques principales du travail à exécuter :
La longueur du redressement est d’environ 447 m . Son tracé part de la
rue de Mons à environ 15 de l’angle de la rue de la
Régence , laisse à gauche la Tour Paulet , traverse
le jardin du Sieur Albert Thibaut, et aboutit à la route de 2e
classe n° 6, en face du pignon du Sieur Leclercq-Huart.
Le tracé se compose de quatre alignements :
Le premier se confond avec l’axe de la rue de Mons.
Le second , sur 124 m .,
se rattache à l’extrémité du précédent en face de l’origine de la muraille du
Sieur Clément Lemoine.
Le troisième, sur 275 m .,
forme avec le précédent un angle de 130°, passe de 5 m . vers la droite de la
muraille du Sieur Leroy et se termine à l’axe de la route de Charleroi-Bray.
Le quatrième, de 48 m .,
forme avec me précédent un angle de 153° , se confond avec l’axe de la route
précitée et s’arrête à un point pris dans le prolongement du pignon du Sieur
Adrien Leclercq-Huart.
La chaussée sera exécutée sur une largeur de 7 m .
A la rencontre des chemins et ruelles sera établi des rampes de
raccordement de 50 cm . De pente au plus par
mètre courant.
Celle du chemin de Péronnes établie en remblai aura au moins 6 m . de largeur à la crête et
arrivera au niveau de la propriété du Sieur G. Willot.
Les ouvrages d’art consistent en :
- Un pont de 5 m .
d’ouverture, à construire sur la rivière « aux chevaux ».
Le pont aura 14 m .
entre le parement de ses têtes et 5
m . d’ouverture en plein cintre. La hauteur totale du
pont aura 5 m .
au dessus des fondations.
Un aqueduc de
La nouvelle chaussée sera réalisée avec des matériaux neufs entre le pont
de départ de la route n° 6 et celui de la route n° 33[36]
Les propriétaires de la rue de Mons sur le plan POPP (1860 env.)
Côté pair côté
impair
De la Grand-rue à la rue du Cerf De la Grand-rue à la rue Bard
B.480a Lelong Antoine, cordonnier B.859 Massart Pauline et Louise, rentières
B.481 Lelong Antoine, cordonnier B.858 Fayt
Jean-Baptiste, rentier
B.482 Levie Michel, négociant B.853a
Dubois Victor, pharmacien
B.483 Wanderpepen-Charlier veuve Hubert B.852 Leclercq-Huart
veuve Adrien, marchande
B.484 Depret Ursmer, marchand
B.485 Deprez-Claise Dieudonné, marchand tailleur B.851 Vanremoortel Louis, cordonnier, et B.486 Dejehansart Louis, boulanger Michel,
son fils
B.487 Bury Henri, marchand B.850 Dejardin Floribert,
menuisier
B.849 Dejardin
Floribert, menuisier
B.848 Biche Henri,
boucher
De
la rue du Cerf à l’actuelle rue Lucien Roland B.847a Courtois Elodie et Virginie
B.609 Babusiaux Edmond, hôtelier B.846b Sebille-Pollet François, marchand
B.610a Maréchal Auguste, négociant B.846c
Sebille-Pollet François, marchand
B.610b Maréchal Charles, Emile, Elite et
Rose
De la rue Bard à la rue
de la Régence
B.611a François Ursmer, marchand B.771 Ferain
Valentin, Rupert et Désirée
B.612a François Ursmer, marchand boulangers.
B.614 Mauroy Cécilien, maréchal-ferrant B.770a Demaret François et sœurs, négociants
B.616 Babusiaux-Baras Alexandre, marchand B.769 Demaret François et sœurs,
négociants
de chevaux
B.768 Gallez Maximilien, serrurier
B.618d Pourbaix-Boulanger, veuve Jean-Baptiste B.767 Wamberchies-Deliège Félix, marchand
B.619e Pourbaix-Boulanger, veuve
Jean-Baptiste B.764b Petit Henri,
cordonnier
négociante B.763a,c,d : Masuy-Lebrun Charles, cordonnier
B.620 Rochez Godefroid, marchand
B.621a Picart Gustave, jardinier B.761a Masuy-Lebrun
Charles, cordonnier
B.621b Picart Gustave, jardinier B.760 Bailly Louis, cafetier
B.622a Deliège-Ramboux Antoine, serrurier
De la rue de la Régence
à la rue des Archers
B.622b Deliège-Ramboux Antoine, serrurier B.758 Masuy-Lebrun Charles, cordonnier
B.623 Lefèbvre-Huart, négociant B.756 Bourgeois Adrien, marchand
B.623 Lefèbvre-Huart, négociant B.756 Bourgeois Adrien, marchand
B.624 Gallez
Maximilien, serrurier B.755 Bourgeois
Adrien, marchand
B.625a Gallez Maximilien, serrurier B.754 Houssière
Joseph, maçon
B.625b Gallez Maximilien, serrurier B.743 Honorez
Napoléon et enfants
B.626 Gallez
Maximilien, serrurier Propriétaire
à Haulchin
B.627b Devergnies Isidore, greffier B.742 Winance-Gaillard Joseph, rentier
B.627c Devergnies Isidore, greffier B.740 Payen Célestin, ânier
B.628 Pourbaix-Boulanger, veuve Jean-Baptiste B.740 Payen
Célestin, ânier
B.629 Babusiaux veuve Augustin, dentellière B.739 Quinet Nicolas-Joseph, boucher
B.630 Cuas Louis, marchand B.738 Empain-Ghislain
Adolphe, marchand
B.631 Wanderpepen Auguste, conseiller B.737 Hupin Alexis,
journalier
provincial B.736
Bailly Joseph, la veuve, cabaretière
B.735 Picart-Lambret
Augustin, jardinier
B.734
Lejeune-Stalon
Jean-Baptiste, ouvrier
B.733a Lejeune-Stalon Jean-Baptiste, ouvrier
B.732 Rochez Louis, ânier
Le cadastre renseigne
aussi :
B.486 Debay Marie-Joseph, 1847 vente
Winance Louis-Philippe, pelletier,
1864 vente.
Winance-Dejehansart Louis, pelletier,
1885, succession
Winance-Auverdin, voyageur de
commerce, 1905, décès
Winance-Lebrun Alphonse, voyageur de
commerce, 1906, succession
B.614 1864, erreur d’arpentage
B.614a 1870, vente à Mauroy Cécilien, de la
maison et atelier de maréchal
B.625a
Gallez-Petit Maximilien, serrurier
1872, division en B.625c et d
B.625d Gallez la veuve et enfants, 1903
1907, vente.
B.621 Pourbaix-Boulanger Jean-Baptiste, marchand
B.626 Gallez-Petit Maximilien, serrurier, la veuve
et enfants, 1903
B.626c 1907, vente.
B.733 Deliège Xavier, marchand, 1849, vente
B.737 Williams Henri-Joseph, propriétaire à Givry
B.739 Maison, 1881, vente.
Dubrue Adrien, chapelier
Quinet Nicolas-Joseph, boucher
B.743a Coppée-Leroy François, corroyeur,
vente 1847
Réunion avec B.744 appartenant à
Boussart François.
B.768 Gallez-Petit Maximilien, serrurier
1903, la veuve et enfants
1864 agrandissements
B.768a Maison et atelier de ferronnier,
1887 donation
B.851 Seghin François, bottier, 1860 vente
Vanremoortel Louis, couturier
Vanremoortel Michel, 1875 vente
RUE
DE MONS 1890-1900
71
maisons sont citées :
- Basselier
Félix (1850) tailleur, et Bourgeois Marie-Adolphine.
- Cottin
Emmanuel (1874) cordonnier et Moreau Amélie (1879).
- Thiébaut
Constant (1865), marchand de meubles, et Carpentier Elise, partis à Grand-Reng en mars 1892.
- Glotz
Gustave (1848-1896) peintre, et Hamaide Louise (1832), d’où :
Glotz Gustave-Georges (1874) peintre.
- Gaillard
Fernand (1869) boucher, et Choquet Florence (1868) repasseuse.
- Buisseret
Arthur (1853) pharmacien, et Boudart Anaïs (1869)
Leclercq Virginie (1824), veuve Buisseret
Charles (mère)
- Heim
Louis,° 7-11-1859 Hochfelden (Allemagne), hôtelier, et Esch Hubertine (1863)
parti le 13-6-1896.
- Lebrun
Marie-Anne (1862) veuve Wauthier Charles
- Delhalle
Paulin (1855) ferronnier, et Empain Louise (1857)
- Empain
Célinie (1843) veuve Boulment Louis, lingère.
- Bourgeois
Victor-Alexandre (1876) tailleur, et Pitot Louisa (1876) tailleuse.
- Gigounon
Auguste (1862) zingueur, négociant en porcelaines, et Coquiart Julia (1865)
- Bartel
Gustave (1865) chaufournier, et Chevalier Marie (1856)
- Jongen
Nicolas (1808-1895) savonnier, et Swerck Marie-Christine (1819-1894)
- Ferin Valentin (1832-1898) boulanger, et
Vanwarenberg Lucie, fille de magasin, partis en mai
1899.
- Schevert
Isidore (1864) marchand de liqueurs, géomètre, et Nicaise Louisa (1868) partis
en août 1898.
- Jongen
Walther (1858) cordonnier, et Mathieu Sylvie (1859)
- Gallez
Edouard (1851) marchand ferronnier, et Coquiart Rose (1851)
- Beaumez
Victoire (1836), veuve Dubois Louis
- Meys
Pierre (1825) colporteur, et Goret Marie-Joseph (1822-1897)
- Glotz
André (1827-1892) vitrier, et Rochez Catherine (1830-1897)
- Baudoux
Emile (1830) boulanger, Bury Joséphine
(1836)
- Brichot
François (1858) marchand de légumes et cabaretier, Gaillard Marie-Thérèse
(1860)
- Lebrun Louis
(1862-1897) boulanger, et Péchenart Marie (1862) partis en 1899
- Lebrun
Louis (1820) peintre, veuf Everbecq Marie-Thérèse et Delmotte Joséphine
- Bailly
Louis (1829-1900) corroyeur, et Coyaux Thérèse (1836)
- Fleurus
Joseph (1820) maréchal, et Boudart Marie-Claire (1826)
- Stalon
Georges (18833) corroyeur, et Hulin Alexandrine (1839)
- Gary
Félicien (1861) verrier, et Boudart Hortense (1869) partis en avril 1891
- Deprez
Charles (1866), et Stalon Marie-Zoé (1867)
- Boudart
Florent (1837-1899) maçon, veuf Naveau Joséphine
- Cuaz
Louis (1828) colporteur, et Chevalier Joséphine (1845)
- Degouy
Rosa (1830), veuve Derval Augustin (….-1893) journalier, d’où :
Derval Gustave (1872) cordonnier, époux
Damien Marie (1870)
- Cossiau
Félicité (1829), veuve Dusenne Floribert
- Daneau
Auguste (1837) marchand de grains, et Navez Séraphine (1837-1896)
- Painparé
Albert (1855) employé, et Dulereux Clothilde (1862) partis en mars 1901
- Babusiaux
Ursmer (1841) forgeron, et Groise Félicie (1844-1895) dentellière
- Piette
Emile (1851-1898), journalier, et Dorval Elise (1851) partis en juillet 1898
- Piraux
Maximilien (1845) plafonneur, et Babusiaux Marie-Augustine (1853)
- Beaurain
Abel (1845) tailleur, et Hupin Marie-Caroline (1848) couturière
- Payen
Vincent (1840-1895) ânier, et Boudart Victoire (1843) journalière
- Goffaux
Charlotte (1839) veuf Claise Emile
Claise André (1863)
- Lebrun
Félicité (1825) veuve Beaurain Joseph
- Beaurain
François (1843) corroyeur
- Hamaide
Désiré (1833) ânier, et Empain Victoire (1836), 6 enfants.
- Rochez
Louis (1828) ânier, et Empain Joséphine (1834)
Rochez Alfred (1859) ânier, et Leghait
Pauline (1861)
- Legrand
Ildephonse (1833) tailleur, et Mayeur Eléonore (1833) dentellière.
- Empain
Françoise (1841) veuve Derave Auguste
- Deprez Louis-Joseph
(1840) cordonnier, et Degrève Adolphine (1843), 8 enfants.
- Pouillard
Augustin (1815-1893) corroyeur, veuf Dorval Bélonie
- Michot
Gustave (1848) cordonnier, et Pouillard Mélanie (1852)
- Lescalier
Victor (1841) forgeron, et Bailly Marie-Claire (1839) 6 enfants.
- Lescailler
Victor (1862) tailleur, veuf Quinet Augustine, marié à Motquin Elisa (1871) tailleuse.
- Derval
Adolphine (1844) veuve Bailly Ursmer, marié à Tilmant Charles (1851)
cordonnier.
- Lescalier
Marie (1863), tailleuse, veuve Navez
Adrien, mariée à Bailly Adrien (1867)
- Decuber
Gérard (1851) marchand ambulant, et Cornélis Jeanne (1849) marchande
- Montpellier
François (1846) cabaretier, logeur, et Cornélis Antoinette (1840)
- Henry
Alfred (1845) journalier, et Graux Rosalie (1843) 6 enfants
- Miche
Vincent (1848-1900) tailleur de pierre, et Poliart Flavie (1848)
- Lefèbvre
Dieudonné (1841) forgeron, et Régalle Florence (1842) dentellière.
- Lescalier
Victor (1865) tailleur, et Deliège Léopoldine (1867)
- Taminiau
Emile (1865) cordonnier, et Dubois Léonie
- Lefrant
François (1835) tailleur de pierre, et Navez Sidonie (1846)
- Audiart
Alexandre (1822) casquettier
- Denamur
Louis (1854) houilleur, et Hamaide Eugénie (1857)
- Fauviaux
Hyppolite (1835) marchand de charbon, et Elme Rosalie (1838)
- Bacq
Jules (1841) contremaître, et Horemans Désirée (1844)
- Anthoine
Joséphine (1846) veuve Lejuste Florimond
- Drugmand
Désiré (1867) journalier, et François Laure (1868)
- Bury
Félicité (1815-1893) couturière, veuve Roulez Ursmer
- Navez
Ursmer dit Louis (1845) horloger, et Chevalier Victorine (1849)
- Hamaide
Désiré (1853) journalier, et Boudart Malvina (1853)
- Ceulemans
Joseph (1840) coutelier, et Lejuste Cécile (1841)
- Fauviaux
Victor (1859) et Lefèbvre Marie (1861)
- Bourgeois
Emile (1857) houilleur, et Hamaide Marie-Joseph (1854)
- Bury
Edouard (1851) houilleur, veuf
- Graux
Gustave (1851) verrier
CONSTRUCTION ET
TRANSFORMATION DE MAISONS 1889-1909
Construire
deux maisons 3-4-1889 Deprez-Bailly
Apporter différents
changements à la façade 31-3-1896 Winance-Dejehansart Louis, tanneur.
Faire des modifications à
la façade 4-8-1891 Brichot Léopold
Construire
trois maisons 9-3-1893 Decuber Gérard
Agrandir
les vitrines de sa maison 12-3-1893 Lebeau Florimond
Modifier
les façades de deux maisons 29-8-1893 Lebeau-Honorez
Construire
quatre maisons 20-3-1896 Deprez-Biche Ursmar
Transformer
la vitrine de son habitation 8-4-1896 Deprez-Delattre
Placer
une corniche 10-4-1896 Sebille-Pollet (veuve)
Construire
deux maisons 25-8-1896 Decuber Gérard
Construire
trois maisons 29-5-1897 Labrique Charles
Construire
une maison 9-10-1897 Stalon Constant
Construire
une maison 26-12-1897 Lefèbvre Gustave
Convertir
une maison en deux demeures 23-1-1898 Dessars Ursmer
Démolir et reconstruire une
maison 20-5-1898 Gallez François
Démolir et reconstruire une maison 26-5-1898 Lejeune Jean-Baptiste, dir. de
l’usine à gaz
Construire
trois maisons 16-7-1898 Stalon Constant
Construire
quatre maisons 25-2-1899 Lalisse Henri
Percer une porte dans la
façade 7-5-1899 Daneau -Navez
Démolir et reconstruire une
maison 7-5-1899 Lalisse-Rolin
Henri, marchand
Construire
une maison 3-6-1899 Goffaux Jean-Baptiste
Construire
un bâtiment, maison de commerce25-7-1899 Degueldre Fernand
Agrandir
la porte de sa maison et transformer 30-12-1899 Molitor Henri
la
façade
La rue de Mons, vers 1900-1905
après le commerce de tapis et ameublement Delatour-Deprez, une série de café suit : le cabaret
Joseph Barbe, le café Jules Diricq, plombier zingueur et, cabaretier, tenu
aussi par son épouse Berta Hecq, l’hôtel des Marchands, qui deviendra plus tard
la boucherie coopérative et Maison du Peuple.
Le « Grand café Royal »
succéda à la Maison
Delatour. En remontant la rue, après une petite imprimerie,
le « Grand café Royal », première version, était tenu par Auguste
Haubruge, avant qu’il ne parte sur la Grand-Place , et ensuite, par Léon trognon
jusqu’en 1911. Cette demeure deviendra le cinéma « Palace ». La
droguerie « A l’éléphant » de Joseph Ghisbain, avait succédé au commerce des Levie. Cette
maison deviendra la Maison
du Peuple et plus tard le commerce d’habillement Georges Navez.
On voit à gauche l’enseigne des « Caves de Munich », café de
Louis Werrie.
La boutique d’Henri Groise et son épouse Eugénie Quinet était pleine de
ressources car il était tout à la fois, casquettier, charcutier et marchand de
liqueurs. Cette maison deviendra la pharmacie Gâteau en 1938.
En face on trouve la grande maison de Gustave Babusiaux, marchand de
chevaux.
Un
marchand de tabac a succédé à Henri Groise, à gauche la boutique du marchand de
beurre Henri Lalisse et de son épouse
Elise Rollin, ils ne seront plus là pour longtemps, on les retrouve en 1923,
Grand-Rue
La maison
n° 7 est classée par A.R. du 16-10-1975
Brasserie Guyot
frères et sœurs devenu ensuite un magasin d'appareils de chauffage: Péchenart.
1900-1910
Convertir
une porte en fenêtre et vice-versa 15-4-1900 Letellier Frère et sœurs
Démolir et reconstruire une
maison 6-6-1900 Delatour-Deprez
Construire dans la cour de
leur habitation 4-10-1900 Gigounon frères,
marchands-tailleurs
Construire
une maison 14-6-1901 Griez Emile
Exhausser
la porte d’entrée d’une maison 14-6-1901 Gallez François
Remplacer une porte cochère
par une porte 3-12-1901 Paternotte Jules
Remplacer
une porte cochère par une fenêtre 11-3-1902 Degueldre Fernand
Construire une maison sur un
terrain lui appartenant 3-3-1909 Legrand
Armand
1910-1920
Côté impair
Côté impair
1 Delhaye Louis-Paul (1862) tailleur, x Clara Rosine (1868) ,négociante en merceries
3 Debaise Alfred (1861) cabaretier, et Boudart, suivis de
DEMARS
Oscar-Désiré (1886), tailleur, x ROCHEZ Marie (1889)
5 Gaillard Georges-Fernand (1885),
boucher, et Brédat
GLOTZ Alphonse (1892) coupeur-cordonnier, x DEROEZE
Bertha (1893) marchande de
tabac.
tabac.
7 Buisseret Arthur (1853) pharmacien, x
BOUDART Ernestine (1869)
9 Lemonnier Alexandre (1862) cafetier, et
Maiglet
ADANT
Auguste (1882), cafetier, x LIMBOURG Sylvie (1882)
11 LEGRAND
Charles-Gustave (1852) cordonnier, et BOUDART
LEGRAND
Ernest (1867), cordonnier, x BAILLY Mélanie (1867) marchande de tabac.
13 DELHALLE Paulin (1855) ferronnier, et EMPAIN Louise
BABUSIAUX
Edmond-Oscar (1885), boulanger, x DENIS Angèle (1887) pâtissière.
15 ABRASSART
Louis (1896) instituteur, x DERAVE Madeleine (1892), négociante en tissus.
17 BAILLY Adolphe-Albert (1881) bourrelier, et BRONCHAIN Elisa
Reysenaer Jean (1888), gérant de la
coopérative « En Avant », x DE
BRACKELAER Louise (1859)
BRACKELAER Louise (1859)
17 BRONCHAIN
Jean-Baptiste (1844) machiniste, et TERMOLLE Flore
19 SOMMER
Jean (1860-1929), négociant en denrées coloniales, x JANSSEN Louise (1859)
21 Lalisse Henri (1864) marchand de beurre,
et Rollin Elise (1870)
23 Deprez
Oscar (1860) négociant en draps, et Godefroid
Pauline (1866)
25-27 GALLEZ Edouard (1851-1931) négociant en fer,
x COQUIART Rose (1861)
29 AERTS Nicolas ((1834) journalier, et TAHON
Sauvenière
Augustin (1868) marchand de volailles, et Aerts
Liévine (1867)
31 Beaurain Joseph-Paulin (1863-1925)
tailleur.
33 -
35 EMPAIN Joseph
(1866) tailleur, et GRIGNARS
33-35 DELIEGE Robert
(1895), marchand de tissus, x EMPAIN Augusta (1897)
37 KERSTEN Emile
(1875) tailleur, et DELVAL Victorine
DELHALLE
Armand (1902), marchand de fer, x FRANCQ Emilia (1884)
39 GILSON Ursmer (1883) tailleur, et ROCHEZ
PIQUE Marie-Ernestine (1864)
boulangère, veuve DE KERF Arthur
41 Deltenre
François (1869), marchand-taileur, x Bombled
Palmyre (1870-1925)
43 Bailly
Gustave (1867-1926) tailleur, x Laloyaux
Maria
45 BABUSIAUX Gustave (1879) colporteur, et FAUCONNIER
JAUME François (1888) marchand de
légumes, x ANTOINE Marie (1889)
47 BAILLY Gustave (1864) cordonnier, et POUILLART Virginie
STICKEL Léon (1873), verrier, x
MANSY Marie-Félicité (1877-1930)
49 KERSTEN François (1869), tailleur, x Schortz Charlotte (1866)
51 LEJEUNE Louis (1862-1924), professeur, x
CAMPION Ida (1864-1927)
53 ROMBAUX Désiré (1852) forgeron, et BARAS Louise
LESCAILLER Louis (1865-1925),
tailleur, x FRANCART Adèle (1862-1922)
55 LESCAILLER Auguste (1890), tailleur, x
DERVAL Rosalie (1892)
57 GARAIN Adolphe (1882) tailleur, et BASSELIER Marie (1884)
STALON Ursmar (1859) tailleur, et
DERVAL Eléonore
LESCAILLER Victor (1862), tailleur,
x MOTQUIN Elisa (1871)
59 BAILLY Evangéliste (1876-1931),
tailleur, x BOUDART Elmire (1888-1929)
61 GARAIN Jules (1853) maraîcher, et
ROCHEZ Antoinette
GARAIN Adolphe (1882), tailleur, x
BASSELIER Marie (1884)
63 BURY Rose (1878), veuve Jules Montjoie
65 CORDIER Désiré (1887) maçon, et LATTEUR
67 PAUWELS François (1882), vitrier, x
STALON Aline (1886)
69 Goffaux
Emile (1868) tailleur, et Payen
Rose (1870)
71 Lefèbvre
Alfred-Florian (1883) o/agricole, voiturier, x Leghait Pauline (1884)
73 FLORVILLE Alexandre (1865) journalier,
et EMPAIN Joséphine
BAILLY Ursmer (1891), tailleur, x
BAILLY Marie (1895)
75 QUINET Célestin (1886), boucher, x
ROCHEZ Joséphine (1887)
77 HAMAIDE Ursmer dit Gustave (1867)
colporteur, et GILBERT
Repoussez
Adrien (1874) colporteur, et Bury
Pauline (1877)
79 GILSON Félicie (1859), tailleuse, veuve
NAVEZ Auguste
81 GILSON Ursmar (1883), tailleur, x ROCHEZ
Pauline (1882)
83 Rochez
Evariste (1874), colporteur, x Adam
Marie (1876), cabaretière.
85 BURY Alexandre (1868), tailleur, x
DERAVE Julia (1869-1925), tailleuse
87 Derave
Ursmer (1873) colporteur, et Houssière
Félicité (1872) épicière.
89 BOURLART Louis (1885), verrier, x BARA
Marie-Charlotte (1886)
91 BAILLY Adrien (1867) tailleur, et LESCALIER Marie
MARIÉ Maximilien (1864) cordonnier,
x 2°- COGNEE Jeanne
93 PORSON Louis (1880) tailleur, et LESCALIER Elise
DELIEGE Paulin (1853),
commissionnaire, x BOUDART Ida-Louise (1851)
95 Michot
Gustave (1883) tailleur, x GRIEZ Flora (1883), tailleuse.
97 LESCALIER Victor (1841) forgeron, et BAILLY Marie
BAILLY Adrien (1867) tailleur, x
LESCALIER Marie (1863)
99 TILMANT Charles (1851) cordonnier, et DERVAL Adolphine
GOREZ Alfred (1890), verrier, x
DUGAUQUIER Colette (1895), tailleuse.
101 MICHE Adolphe, depuis le 30-2-1910
COTTIN Eugène (1885), mécanicien.
103 DASSONVILLE Furmence (1876), facteur, x
LIEVENS Alida (1887)
105 CORDIER Louis (1885), chauffeur, x BURY
Jeannette (1887), tailleuse
107 BEAUDOUX Emile (1830) boulanger, et BURY Joséphine
HOUSSIERE Ursmer (1870), ajusteur, x
BAUDOUX Joséphine (1868-1921)
109-111DERIDDER
Jules (1865) musicien ambulant.
MOLITOR Henri (1873) cordonnier,
cafetier, logeur, et Blariau
Louise (1875-
1925)
113 Delval
Paul (1858-1928) charcutier, et Boudart
Philippine
DELVAL Henri (1893), boucher, x LEGRAND Hermine
(1894)
115 Legrand
Armand-Louis (1880) marchand-tailleur, et Piret
Louise (881), tailleur.
117 BOURGEOIS Emile (1878) colporteur, logeur,
x HANON Sylvie
119 Lefèbvre
Dieudonné (1868) tailleur.
123 BLONDIAU Alfred (1844) tailleur.
135 HENRY Alfred
(1845) négociant, et GRAUX Rosalie
137 RICHARD Oscar
(1866) négociant, et HENRY Marie
141 HIRSOUX Victor
(1874) houilleur, et BOURGEOIS
147 LEFRANT François (1838) tailleur de
pierre, et NAVEZ Sidonie
LEFRANT Henri (1873) tailleur de pierre
LEFRANT Henri (1873) tailleur de pierre
151 BABUSIAUX
Victor (1886) s.p.
153 VANDERSTICHELEN
Joseph (1873) camionneur, et DELVAL
155 BAILLY Alfred
(1882) domestique.
157 EMPAIN Henri (1856) tailleur, et DUTILLEUX Marie
159 NAVEZ Adrien (1840) tailleur, et SOUTERRE
Côté pair
2 -
4 LEGAUX Sylvie, veuve MARLIERE
6 -
8 GHISBAIN Georges, négociant en denrées
coloniales
10 TROGNON Léon, cafetier, et DEMARLIERE
Zélie
10 RENARD-CASTELAIN
12 DAUMERIE Arthurr, Tailleur et BUISSERET Julia
14 DELATOUR négociant, peintre et DEPREZ Louise
16 Idem
18 DIMARTINELLI Jean-François (1882)
teinturier, arrivé le 16-3-1910
20 GLOTZ Evariste-Vital (1870), vitrier.
22 BOURGEOIS Joseph-HAMAIDE Marie
22 DAUMERIE Armand-Lucien (1877)
matelassier, aubergiste, et LECLERC Louise
24 SOMMER Jean (1860), négociant en denrées
coloniales, et JANSSENS Marie
26 Idem
28 DELBROUCK Juste (1862), boucher.
30 LEBEAU Adolphe (1886), employé comptable
32 QUINET Paulin (1853) tailleur, et NAVEZ
34 LECOMTE Victor (1875) tailleur, et CORDIER
36 GILSON Georges (1882) dessinateur,
négociant, et BRICHOT
38 BABUSIAUX Gustave-Théo, marchand de
chevaux
40 LEFEBVRE Anna, veuve HUART, négociante
42 FLORE Oscar-Adrien (1879) entrepreneur,
et LEfrANT, boutiquière, arrivés en septembre
1911
1911
44 GLOTZ Alphonse (1807) vitrier, et BAUDOUX
46 CLARA Louis-Charles (1875) cordonnier,
et TREMPONT Joséphine
48 SANGLIER Adolphine, bouchère
50 GROISE Henri (1850) marchand de
liqueurs, et QUINET Eugénie
50 HUPIN Auguste (1869) tailleur, et GROISE
52 DEMARS Auguste (1883) tailleur, et
GHISLAIN
DEMARS Louis (1857) casquettier, et HAMAIDE Désirée
DEMARS Oscar-Désiré (1886) tailleur, et ROCHEZDEMARS Louis (1857) casquettier, et HAMAIDE Désirée
54 MATON Rodolphe, tailleur et BEAUDOUX Cécile
56 Idem
58 DELIEGE Henri (1887), cafetier
58 DELIEGE Joseph (1850) colporteur, et MEYS Lucie
60 MORLET Laure
62 BAILLY Adhémar (1866) tailleur, et GEUSE Julia
62 MOYAUX Ghislain (1884) tailleur, et BAILLY
64 JADOT Fernand (1873) médecin oculiste,
et DERÊME
66 NAMUR Henri (1858) négociant, et JAUME
68 GLOTZ Raoul-Maxime (1884) peintre, et Brasseur
74 GIGOUNON Georges (1872)
marchand-tailleur, et DURIEUX
78 RICHELET Georges (1876) cordonnier, et HOUSSIERE Louise
80 LETELLIER Wulmer (1843) marchand
brasseur.
86 GRIEZ Jean-Baptiste (1884) maçon, et DERVAL
92 BOMBLED Victor (1868) tailleur, et LESCALIER Flore
94 MEDICIS Valère-Paul (1885) o/forgeron,
et DUPUIS
98 STALON Florent (1857) cordonnier.
100 MABILLE Arthur (1879) tailleur, et STALON
102 STALON Auguste (1852) tailleur, et BOURGAUX Rosalie
104 PIRET Jean-Baptiste (1844) journalier,
et STALON Védastine
110 DELIEGE Ursmar (1883) houilleur, et BLARIAU
112 FLEURUS Georges (1881) négociant, et JAUPART
114 DELIEGE Charles (1843) matelassier, et OUTELET
116 FICHAUX Auguste (1876) zingueur, et PICART Louise
118 BURY Emile-Edouard (1878), et LEFEBVRE Joséphine
120 SERRURE Désiré (1870) journalier, et LEJUSTE
122 LESCALIER Alfred (1863) tailleur, et ROCHEZ Joséphine
126 BAUTHIER Camille (1875) tailleur, et BOMPAS Hortense
128 ROMBAUX Louis-Désiré (1882) tailleur, et BURY Angèle
130 VILBAJO Jean-Baptiste (1868) cordonnier,
et DERVAL Rosalie
132 LEFEBVRE Alexandre (1857) forgeron, et
ANTHOINE Rosalie
LEFEBVRE Ursmar (1886) houilleur, et GRAUX Elite
136 BURY Henri (1865) forgeron, et BOUDART Céleste
138 MABILLE Omer (1875) cordonnier, et CHEVALIER Eugénie
140 STALON Dieudonné (1876) verrier, et BURY Victoire
140 BURY Emile-Désiré (1855) forgeron, et BOUDART Louise
142 HUPIN Adolphe (1869) tailleur, et SERRURE
144 MORIAUX Vital-Isidore (1874) forgeron, et
GRAUX Marie
150 STALON Constant (1850) cafetier, et HAMAIDE
152 BOURGEOIS Emile (1857) houilleur, et
HAMAIDE Marie
154 ROMBAUX Auguste-Louis (1887) tailleur.
ROMBAUX Jean-Baptiste (1867) tailleur, et
NAVEZ Joséphine
156 ROCHEZ Gustave et COTIN Eléonore
158 JAUME François (1888) cordonnier, et ANTHOINE
160 HANNUISE-LEGHAIT , depuis le 14-1-1908
162 BABUSIAUX Alfred (1866) tailleur, et GAILLARD Irma
162 GRAUX Ernest, tailleur, et MORTIER Laure, depuis le 22-00-1911
164 DEGUELDRE Fernand-Edouard (1875) forgeron,
et CAMPION
N°s non connus:
BURY vital (1884) cordonnier
LEFEBVRE Floris (1881) o/agricole
LEJEUNE Louis (1862) instituteur, et
CAMPION Ida
LHEUREUX Ferdinand (1855) houilleur.
[35] Mémoires et publications de la Société des Sciences, des
Arts et des Lettres du Hainaut, t. IX, 3e série, pp.240-241.
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