Binche et le
commerce des chevaux
Alain
GRAUX
GÉNÉRALITÉS
Des
siècles durant, les chevaux sont des animaux de guerre et de transport
au service des hommes. Ils permettent l'essor du commerce
et l'expansion de civilisations sur de grandes étendues. Considéré comme
« la plus noble conquête de l'homme ».
Il
est à l'origine de métiers liés à son entretien, son commerce ou
aux activités sportives d'équitation, les plus célèbres étant les sports
hippiques. Dans la plupart des pays développés, le cheval est
désormais monté pour les loisirs et les compétitions sportives, mais il peut également
être utilisé en thérapie, ou pour la production de biens de
consommation grâce à sa viande, son lait,
son cuir
et même son urine.
Le cheval est un partenaire indispensable à l'agriculture
et au transport.
L'entretien des chevaux domestiques demande un matériel particulier et l'attention de
spécialistes.
Autour
des commerçants de chevaux appelés maquignons, se développent des métiers tels
que maréchaux-ferrant, charrons, selliers, lads, vétérinaires, locations d’attelages
etc.
Le 20 juin 1815, les Prussiens
réquisitionnent 200
litres de genièvre et 8 chevaux, par le commissaire de
guerre du 4e corps d’armée prussien. De même, lorsque notre pays fut
envahi par les Allemands en 1914, les réquisitions de chevaux furent aussitôt
organisées.
LES FOIRES
Les
foires connues à Binche depuis le moyen-âge s'accompagnaient d'un marché au
bétail qui seul survécut au temps.
Le
27 pluviôse an 10 (16-2-1802), le registre d'audience de la Ville de Binche
signale la demande de création de deux nouvelles foires.
"Il
a été envoyé‚ au préfet de ce département le procès verbal des foires de la
ville de Binche fixé comme s'ensuit:
Les
anciennes foires, fixées par l'ordonnance générale centrale et dont les époques
y fixées demandent à être continuées, c.à.d. le 9 vendémiaire (30 septembre) et
le 25 floréal (14 ou 15 mai)
Les
nouvelles demandées en augmentation des deux anciennes foires: le 21 frimaire
(11 ou 12 décembre) et le 23 messidor (11 ou 12 juillet), mais il fallut
attendre le 25-3-1825, pour que l'administration communale autorise la vente de
chevaux pendant les quatre foires aux bestiaux établies dans la ville.
L'arrêté
du 13-12-1827 autorise le Conseil communal à établir un marché aux chevaux le
15 de chaque mois, la foire se déroulera dorénavant tous les mois.
La
ville favorise la vente par l'octroi d'une prime d'encouragement.
Le
15-2-1828, les premiers bénéficiaires de cette prime furent:
Norbert
Tordeur, marchand de chevaux à Battignies, pour la moitié et Félix André,
marchand de chevaux à Merbes-Sainte-Marie, pour avoir amené le plus grand
nombre de chevaux. Ils reçoivent chacun 5 florins.
François
Drugmand de Wavre reçoit 3 florins car il est le marchand qui est venu de la
commune la plus éloignée.
Le
règlement de police de 1828 prévoit que la veille de la foire, un agent de
police visitera les écuries des auberges et cabarets afin de s’assurer qu’elles
n’abritent pas des animaux malades ou contagieux et interdirait les écuries qui
ne présenteraient pas un état convenable de commodité et salubrité.
L'importance
de ces foires n'est plus à démontrer. Nous citerons comme exemple le rapport
établi par le vétérinaire Louis Lambot de Battignies, daté du 16-4-1852:
250
Chevaux sont présentés à la foire, 100 en sont vendus pour un prix moyen de 230
florins, de même 25 Poulains sont mis en vente, 18 sont vendus pour un prix
moyen de 150 florins.
Peu
à peu, la foire prit de l'importance et envahit toutes les artères importantes
de la cité. Les opérations se déroulaient sur la place ou dans les estaminets
environnants. Les maquignons se pressaient dans les hôtels et les auberges;
ainsi l'hôtel Damade, avenue Wanderpepen, comportait 26 chambres et des écuries
pour 150 chevaux. Des acheteurs arrivaient de France ou d'autres pays, les
chevaux étaient expédiés au départ de la gare de Binche par convois de 25 ou 26
wagons.
Par
décision du Conseil communal du 22-11-1881, on perçut 1 franc sur les chevaux
Les
saltimbanques et voitures furent taxés 1 Fr., les charrettes, tréteaux et
tables 50 cts.
En
1903 lors de l'enquête sur la petite bourgeoisie, Jean Lefèvre, président du
syndicat général des voyageurs, employés, négociants et patrons de Binche
déclara au nom de son association:
"Une
foire aux chevaux et bestiaux a lieu le 16 de chaque mois ou le lendemain si le
16 est un jour férié, cette foire est une des plus importante du pays, elle
attire de nombreux acheteurs de l'étranger et, notamment, de la France et de
l'Allemagne. Les cultivateurs et marchands de chevaux qui sont attirés en ville
y font de nombreux achats en vêtements, chaussures, etc. et forment la
principale clientèle de nos hôteliers et cafetiers.
Vous
aurez, Messieurs, une idée de son importance réelle, par le chiffre des
recettes de la ville, qui est annuellement de Fr. 8.206, 70 pour une taxe très
minime prélevée pour les animaux mis en vente.
L'Allemagne,
notre principal acheteur en chevaux est le meilleur attrait pour les éleveurs
belges, va frapper d'un droit prohibitif les chevaux, à l'entrée de ce pays. La
France a déjà relevé ses droits d'entrée, il y a quelque temps.
Si
le droit proposé par l'Allemagne est admis, ce sera une très grosse perte pour
notre petite bourgeoisie, et à bref délai, la décadence certaine de notre
foire.
Nous
prions instamment notre gouvernement qu'il fasse tous ses efforts pour décider
l'Allemagne et la France à taxer l'entrée des chevaux d'origine belge dans ce
pays, de droits moins prohibitifs..."[1].
La
Ville de Binche tire des revenus substantiels des foires, à titre d'exemple
nous citerons pour l'année 1900:
Droits
de places aux foires mensuelles aux chevaux et bestiaux: 13.874 Fr.[2]
Charles
Génart [3]signale :…Le
marché aux chevaux est surtout important, c’est lui qui attire, dès la veille
du grand jour de foire bon nombre d’amateurs. Ils viennent visiter à l’écurie
les chevaux destinés à la vente, beaucoup de marchés, et non les moindres, sont
conclus à l’avance, et échappent ainsi à la taxe.
En
1901, c’est la foire de février qui a réuni le moins de chevaux et mulets –
ceux-ci en proportion presque insignifiante- 374 seulement, tandis qu’en
septembre, il s’en est présenté 783, la moyenne de la foire atteignant
608 ; les années antérieures elle avait été de 569 en 1898, 511 en 1899 et
549 en 1900… »
La disparition des foires est due aux progrès de
l'automobile.
Les
gens de notre génération ont encore connu les dernières présentations d'animaux
où l'on vendait quelques chevaux et mulets, entre la rue de Mons et la rue
Notre-Dame.
LES MARCHANDS
AUMONT
Michel-Denis Aumont,
marchand de chevaux, cité Grand-rue en 1795
BABUSIAUX
De
nombreux membres de la famille Babusiau(x) exercèrent le commerce des
chevaux au XVIII et XIXe siècle:
Babusiau Guillaume[4],
fils Joseph et Adan Marie-Jeanne, marchand de chevaux à la rue de Million en
1795, Il travaille avec:
Son fils Augustin
Babusiau,[5]
(fils de Guillaume et de Marie-Louise Cavenelle), est lui aussi marchand de
chevaux à la rue de Million
Babusiau Pierre[6],
fils de Charles et Pitot Marie-Catherine, marchand de chevaux à la rue de
Million en 1795.
Son fils, Augustin-Nicolas-Joseph[7], était fermier et marchand
de chevaux, trois de ses fils, ainsi que
leur fille Cécile[8] sont aussi marchands de
chevaux :
a) Babusiaux Alexandre[9],
trafiquant de chevaux
b) Babusiaux Augustin[10],
marchand de chevaux.
c)
Babusiaux Pierre[11], marchand de chevaux
établi au n°77, Grand-rue, son fils Victor[12]
continue le métier, il réside rue de la Station
Son fils Victor Babusiaux[13],
vend lui aussi des chevaux, il a ses installations à la rue des Passages (Rue
Louis Buisseret). On le retrouve ensuite demeurant 134 Grand-rue.
d) Babusiaux Florimond[14],
fils d’Augustin fut lui aussi trafiquant de chevaux, rue de la Régence, 471
(ancienne numérotation). Le fils de ce dernier, Paul-Antoine-Florimond[15], fut
aussi maquignon.
Babusiau Alexandre[18], marchand de chevaux, habitait
la rue de Mons n° 30 (ancienne auberge du Lion d’Or) vers 1860.
Ses fils Gustave[19] et Louis[20] font le même métier, de
même que son petit fils Herman Babusiaux
[21], marchand de chevaux, établi à Battignies dès janvier 1877, , rue de
Bruxelles n°18, en 1912.
Le 29-9-1905, héritier de
Cécile Babusiaux, il fait construire à l’emplacement de l’ancienne ferme Leroy,
une maison et dans la cour fait transformer la grange en écuries et fait bâtir des
écuries.
Le 23-4-1907, il étend ses installation et fait construire
d’autres écuries.
Le 6-3-1913, il est
autorisé à installer un moteur électrique pour actionner un hache-paille.
Victor Babusiaux cessera
ses activités en mars 1920, il part alors habiter avec sa famille à La Feuillie
(76220 France).
COPPIN
Coppin
Pierre-Joseph[22] dit Joseph, marchand de
chevaux sur la Grand-rue en 1795, encore cité en 1813, rentier en 1828.
Ses
deux fils sont eux aussi marchands de chevaux
a)
Alexandre Coppin [23] cité
lors du recensement de 1795.
b)
Charles-Nicolas Coppin[24],
marchand de chevaux établi à Battignies.
LEGENDRE
Le
XVIIIe siècle, voit l’essor du commerce des chevaux au travers de la famille
Legendre
Louis
Legendre[25] est le premier marchand
de chevaux connu
Trois
de ses fils continuent ce négoce :
2. Legendre Antoine[28] frère de
Louis, est lui aussi marchand de chevaux, cité sur la Grand-rue en 1795, son fils Ursmer Legendre[29], est
aussi cité marchand de chevaux en 1800,
3.
Legendre Louis-Joseph[30], 47
ans, marchand de chevaux rue Halle aux Filets en 1795,
Vers
1850-1856, on trouve situé sur le Pavé de Charleroi, commune de Battignies, le
commerce de chevaux des frères Legendre, Alexandre-Joseph[31] et
Antoine-Joseph[32]
DANEAU
Charles-Vincent Daneau dit
Paul[33] est
maquignon rue de la Pépinière.
Ses deux fils continuent
l’entreprise :
a)
Paul Daneau[34], est
marchand de chevaux, rue de la Pépinière 13.
b)
Louis-Désiré
Daneau[35]
courtier en chevaux puis marchand au n° 110 rue de Bruxelles (Devenu 110, rue
Zéphirin Fontaine)
DEJARDIN
Jean-François Dejardin[36], 22
ans est cité marchand de chevaux rue de
Steenkerke, en 1795 (rue Buisseret).
QUINET
Jean-Joseph Quinet[37],
marchand de chevaux français, s’établit dans notre ville, 279 (ancienne
numérotation), rue de la Halle-aux-filets à la fin du XVIIIe siècle.
ROCHEZ
Rochez Léon[38], est
marchand de chevaux, 82, avenue Wanderpepen (Hôtel Damade), il y existait des
écuries pouvant abriter 80 chevaux.
Il partit habiter Buvrinnes en avril 1898.
SEBILLE
François-Joseph
Sebille[40], était
marchand de chevaux avant 1800, et maçon
SOCIETES DE TRANSPORTS HIPPOMOBILES
LEBRUN
Alphonse Lebrun[41]
était louageur de voitures au n° 20 de la rue de Versailles, cité en 1912.
On voit sur cette photo les attelages de la firme Lebrun devant l’établissement. L’enseigne indique « Ecuries de chevaux, location de voitures ».
A L’INVINTION (CAFÉ-AUBERGE--) (Av. Wanderpepen, n° 14)
François
Paul était cabaretier et aubergiste, de plus il louait des chevaux et des
voitures et cabriolets,, il vendait des occasions en tous genres, cravaches,
fouets, selles, harnais, etc. [43].
LECLERCQ
Paul Leclercq [44] dit le Cadet, louageur de voitures
hippomobiles avait débuté sa profession à la rue de la Biche, n° 39 (cité en
1912)
Sa firme prenant de l’extension,
il s’installa sur la Grand-rue. Il est aidé dans son commerce par son fils
Lucien Leclercq[45], qui y habite lui aussi
depuis le mois de septembre 1929.
Mais l’époque où règnera
l’automobile n’est plus très loin, tout comme la foire aux chevaux, la firme
Leclercq disparaîtra.
LIEUX LIÉS A LA VIE DES CHEVAUX
ABREUVOIR (Rue Saint-Paul)
Le
27-6-1737, la Delle. Anne-Marie Derbaix, veuve du Sr Jean-Charles Courtois,
demande la permission « de faire un briquet dans l’abreuvoir de la
rue Saint-Paul, pour usage de sa brasserie, à condition que la ville lui
fournisse quelque bois nécessaires pour ledit briquet.. »[46].
Cet
abreuvoir existe toujours en 1788 :
Audit
Louis Deneufbourg 7L. 6 s. pour avoir été occupé pendant deux jours avec son bareau (sic) attelé de trois
chevaux à nettoyer l’abreuvoir tenant à
la porte Saint-Paul et transporter les boues hors de la ville.
Par
résolution du 10 mai 1788 que la muraille le long de l’abreuvoir à la rue St-Paul en partie déjà tombée, le reste
périclitant, est dans le besoin pressant d’être rétabli pour conserver les
pierres déjà tombées et qui pourroient se disperser… »[47].
L’année
suivante, on parle des maisons gisantes rue St Paul, tenant au rempart et à l’abeuvroir… »[48]
Le
29-8-1861, la commission des hospices civils a acquis pour la somme de 5.250 Fr.
l’abreuvoir appartenant à la Ville de Binche par acte passé devant le
notaire Fontaine le 26-7-1861[49].
ABREUVOIR (Faubourg Saint-Jacques)
Un autre abreuvoir est cité
en 1741 :
« ...
de douze pieds ou environ de terrain se
comprenant depuis l’abreuvoir des Chevaux jusqu’au nouveau canal
joignant le pret aux asnes… »[50]
Il
y a lieu de se demander s’il n’y a pas relation entre cet abreuvoir et le
lieu-dit « Rivyer à g’vaux »
rivière à K’VAUX (Chemin
de Péronnes)
Portion de la rivière la Samme entre la rue de Mons et
Waudrez, où les chevaux allaient s’abreuver.
[1] Commission nationale de la petite
bourgeoisie. Séances d'enquête orale, Bruxelles, 1904, t.5, p. 292.
[2] Rapport sur la situation des affaires de
la ville de Binche fait par le Collège
des Bourgmestre et Echevins en séance publique du conseil communal. Année 1900,
p.36.
[3] GENART Ch., e, Les industries de la confection de vêtements
pour hommes et de la cordonnerie à Binche, Bruxelles, 1904, p.28.
[4] Babusiau Guillaume-Joseph, ° Binche
6-6-1734 x Binche 1°- 3-10-1763, Cavenelle Marie-Louise ° Binche 12-1-1737,
y † 25-12-1775; x 2°-
15-4-1776, Coppin Marie-Philippe, ° Estrain (Liège) 1738ca.
[5]
Babusiau Augustin, ° Binche 8-7-1764, x Binche 5-2-1787, Prâte Augustine,
1765-1813
[6]
Babusiau Pierre, ° Binche 30-4-1749, x Binche 30-1-1776, Deneufbourg Marie-Augustine-Françoise, °
Binche 15-9-1753
[7] Augustin-Nicolas-Joseph,° Binche 5-12-1776, y † 26-3-1860, x Binche 29-3-1796,
Lebrun Marie-Catherine ° Binche 20-6-1775, y † 7-1-1862
[8] Babusiaux Cécile, ° Binche
30-1-1810.
[9] Babusiaux Alexandre, °
Binche 2-5-1808, célibataire
[10] Babusiaux Augustin, ° Binche
11-2-1799, y † 23-12-1877, X Binche 6-10-1824, Goffaux Marie-Thérèse, °
Binche 8 prairial an VII (28-5-1799), y
† 29-10-1852.
[12] Babusiaux Victor, ° Binche 19-4-1835,
y † 19-3-1877, x Binche 24-5-1871, Stainier Alexandrine-Julie-Anne, °
Jumet 1-12-1850
[13] Babusiaux Victor-Pierre-Léon-Marie-Joseph, ° Binche 14-6-1877 X Binche
8-9-1903, Hallez Marie-Joséphine-Ursmarine, ° Binche 28-7-1884
[14]
Babusiaux Florimond, ° Binche 9-6-1813, x Binche 19-11-1845, Ghislain
Jeanne-Antoinette, ° Binche 28-1-1818
[15] Babusiaux
Paul-Antoine-Florimond, ° Binche 11-10-1846.
[17] Babusiaux Antoine, ° Binche 10-5-1810, X Waudrez 5-4-1837, Bury
Catherine-Adèle, ° Waudrez 23-8-1809
[18]
Babusiau Alexandre° Binche 29-8-1819, y † 24-2-1890, x Binche 18-11-1846, Baras
Joachime-Angélique, ° Binche 10-2-1821
[19] Babusiaux Gustave-Théodore° Binche 7-5-1848, x Binche
19-11-1873, Leroy Jeanne-Adélaïde-Charlotte-Eugénie-Reine, ° Binche 26-11-1853.
[20] Babusiaux Louis-Pierre, °
Binche 14-3-1847, Castaigne Mathilde-Marie-Juliette, ° Vellereille-le-Sec
27-1-1852
[21] Babusiaux Herman-Louis-Charles, °
Ville-sur-Haine 13-9-1873 x Binche 4-12-1897,
Babusiaux Marthe-Marie-Céline (fille Victor et Alexandrine Stainier)
[22]
Coppin Pierre-Joseph, ° Ways 1738 ca, x Binche 12-4-1769, Buisseret
Marie-Joseph, ° Binche 25-4-1745.
[23] Coppin Alexandre, ° Binche 20-9-1771, x Binche-30 fructidor an
VII (17-9-1799), Haine
Marie-Augustine-Joseph, 30-3-1778
[24]
Coppin Charles-Nicolas° Binche 28-9-1776, † Battignies 7-5-1830, x Binche 7
messidor an 9 (26-6-1801), Winance Maximilienne-Joseph, ° Binche 23-10-1778, y
† après 1828, cabaretière (Battignies 1848).
[25]
Legendre Louis, ° Binche 15-10-1715,
y † 11 brumaire an VII (1-11-1798),
(fils de Charles et Debaise Marie-Catherine), x Binche 15-4-1739, Durant Marie-Joseph, ° Binche 14-8-1716
[26]
Legendre Charles-Antoine, ° Binche 15-6-1748, y † 23-01-1814, x Binche
29-4-1777, Detraux Marie-Philippe-Françoise
[27]
Legendre Louis, ° Binche 25-2-1746
[28] Legendre Antoine, ° Binche 16-10-1733, y † 16 messidor an VIII (5-7-1800), marchand
de chevaux. x Binche 3-2-1758, Dessars
Marie-Lambertine, ° Binche 6-7-1734
[29] Legendre
Ursmer-Joseph, ° Binche 1-8-1768, x 4
thermidor an VI (22-7-1798) Binche 22-7-1798 Crampont Ursmarine-Joseph, °
Binche 1-12-1775, couturière
[30]
Legendre Louis-Joseph, ° Binche 17-1-1757 x 1790 Hamoir Anne-Marie, ° Burdinne
[33]
Daneau Charles-Vincent, ° Binche 8-1-1890, y † 16-7-1941, x Binche 3-4-1909,
Pouillart Marcelle-Augustine, ° Binche 5-2-1887, partie habiter La Louvière en
1943.
[34] Daneau Paul, ° Binche le
26-4-1911,
[35]
Daneau Louis-Désiré, ° Binche 10-10-1916, x Bouten Claire-Julia-Ghislaine, °
Leval-Trahegnies 5-7-1923
[36]
Dejardin Jean-François, ° 1773 env., x Ghisbain Marie-Thérèse, 1773 env.
[37] Quinet Jean-Joseph, ° Taisnières-sur-Hon
21-9-1743, †
Binche11-4-1813, x Péronnes-lez Binche 10-4-1766, Dassonville Marie-Thérèse, °
Péronnes-lez-Binche 27-3-1747, † Binche 6-11-1820.
[38]
Rochez Léon-Emile ° Battignies 20-8-1868, x Bruges 4-7-1894, x Bever Georgine,
° Bruges 6-4-1874
[39] Rochez Robert, ° Buvrinnes 31-7-1858, x Binche
4-2-1901, Wauthier Félicie-Marie, °
Binche 18-9-1854
[40] Sebille François-Joseph, ° Binche 30-10-1758, y †
4-11-1810, x Binche 20 pluviôse an VII (9-2-1799), Lechien
Amélie-Joseph., ° Binche 21-11-1772, journalière.
[44] Leclerc Paul-Adolphe dit le
Cadet, ° Waudrez 17-11-1878, † Binche 23-8-1953, x Havay, Rollin Luce-Rose, °
Havay 13-12-1883, † Binche 9-12-1951.
[45]
Leclercq Lucien, ° Binche 9-3-1909, x Parpeville 30-7-1929, DASSY Léa, °
Villers-le-Peuplier 9-7-1909.
[46] A.V.B. 00-00-01-30
[47] A.V.B. 00-01-00-207-
Massarderie
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